L’Apocalypse réhabilitée par la « Religion du Progrès » (1)

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Extrait de « La notion d’Énergie dans « Le Meilleur des Monde ». En deux épisodes. Première partie.

Le décor et les hommes changent et, en apparence, leurs motivations aussi. Mais l’histoire infernale, surpasse leur volonté et se répète toujours inchangée dans sa logique totalitaire. La dialectique de l’histoire est « diabolique » !

On apprend aujourd’hui que le « réchauffement climatique » menace dangereusement l’humanité et « sa planète », comme le faisait en son temps et à sa manière le nazisme. Sainte sœur Anne la clairvoyante parle « d’une planète en péril » et insiste sur le risque d’un « monde invivable » (1). Encore une fois comme à ses origines, le nucléaire se porte aux avant-postes pour nous préserver de la menace. Par la voie de Sainte sœur Anne, il se pose comme la « solution incontournable » pour sauver l’humanité de la « menace climatique » imminente.

Il le fait exactement comme la bombe atomique a prétendu être, en son temps, la solution contre le nazisme. Comme le rappelle à sa manière Günther Anders « Sa production (la bombe atomique) n’avait à l’origine pas d’autre fin que de contrer l’expansion de « l’annihilisme » national-socialiste » (2)…


Le cocktail diabolique à l’origine de la bombe atomique

Les acteurs du drame s’activent dans une histoire incroyable, une conjoncture historique unique véritablement diabolique a été à l’origine de la recherche sur la bombe atomique (3). C’est la « menace nazie » sur le monde et le peuple juif qui motive et active les savants européens, juifs allemands, plus ou moins communiste ou simplement « de gauche ». Tout ce monde savant là est en fuite sous la « menace nazie » omniprésente. Tous ont une conscience aiguë de la gravité de la situation pour l’humanité. Tous veulent se mobiliser et faire œuvre utile pour «contrer l’expansionnisme national-socialiste » et sauver l’humanité. Selon leur compétence exceptionnelle et spécifique, tous s’activent pour accélérer la recherche sur la bombe atomique, seul « moyen » capable à leurs yeux de « chercheurs surdoués », de mettre « fin » à cette « menace colossale » omniprésente.

Les États-Unis recueillent toute cette marmaille savante sur-motivée par l’imminence terrifiante de la « menace nazie ». Le drame dans l’urgence, comme une puissance surnaturelle, a redistribué ses acteurs et la recherche nucléaire commence. Elle se fait sous le patronage bienveillant de l’Armée des États-Unis, dominée, elle, par un militarisme d’extrême droite intrinsèquement plus anticommuniste qu’antinazi…

Véritablement diabolique a été le cocktail à l’origine de la bombe atomique, la « menace nazie » comme entité surnaturelle planant sur le monde. Elle domine et torture la « conscience collective » de cette époque en crise. Les savants européens, massivement en fuite pour survivre, mais animés par la volonté d’agir à leur manière contre la « menace nazie » et enfin l’Armée des États-Unis qui veut bien agir pour sauver l’humanité de la « menace nazie »…

En un temps record la bombe sort toute prête des méandres théoriques de la recherche atomique. Elle est là, devenue réalité disponible, prête à servir pour la « bonne cause »…

Dans ce triumvirat complexe de circonstances urgentes, qui est le père de la bombe atomique ? Le nazisme, l’élite scientifique antinazie ou le militarisme américain plus anticommuniste qu’antinazi ?

Le nazisme sans aucun doute ! Sans lui, la marmaille des savants physiciens européens, serait restée dispersée « chez elle », chaque scientifique « bien sage » dans sa ville européenne d’origine et tous bien enfermés dans sa routine tranquille. Dans les universités européennes la recherche nucléaire n’aurait jamais bénéficié de ce catalyseur historique puissant, de cet organisateur très efficace et véritablement exceptionnel. C’est lui, le nazisme, qui a fait l’unanimité et rassemblé contre lui les sommités de la « physique théorique » pour en faire des experts de la « physique nucléaire ». C’est lui, le nazisme qui a concentré la « masse critique » de scientifiques nécessaire à « l’invention » de la bombe atomique.

Les savants « de gauche » allemands et européens n’ont fait que travailler aiguillonnés sous la « menace nazie », omniprésente dans leur âme et conscience… Torturé par cette menace colossale ils ont mis toutes leurs « tripes » et leur « matière grise » dans la bataille, et à ce titre ils ont, eux aussi droit, à une part de la paternité sur la bombe atomique.

Le militarisme américain d’extrême droite, plus anticommuniste qu’antinazi, a bénéficié de l’emprise nazie sur la conscience des savants « antinazis ». Mais lui aussi peut revendiquer un « droit de paternité » sur la bombe atomique. Il a recueilli et mis sous ses grandes ailes protectrices d’Aigle impérial ou de Pygargue à tête blanche (4), toute la marmaille désorientée des scientifiques antinazis. C’est lui qui a énergiquement diminué l’entropie dans la marmaille savante en fuite. C’est lui qui les a mis, cette « matière grise » en ordre de bataille. Toute cette troupe sur-motivée, se sentant capable d’œuvrer utilement « avec efficacité » pour le « bien de l’humanité » par leur compétence, c’est lui, le militarisme américain, qui en a fait de véritables chercheurs nucléaires disciplinés…

Lire aussi :  Le retour de Cassandre

Un cocktail véritablement diabolique… Qui est donc le véritable père de la bombe atomique ?

Le 8 mai 1945 « l’Allemagne nazie capitule », c’est la fin de la guerre. La recherche nucléaire des savants physiciens sous l’emprise de la « menace nazie » a été inutile, totalement inutile contre le nazisme.

Cependant la bombe atomique tombe quand même, non pas sur une dernière poche d’irréductibles fanatiques national-socialistes mais sur des innocents. Le 6 aout 1945 l’œuvre des savants chercheurs « antinazis » explose et expose au monde sa puissance colossale sur la ville d’Hiroshima et l’ensemble de l’humanité.

Qui est responsable de ce « crime de guerre » et de ce « crime contre l’humanité » ? L’armée des États-Unis sans aucun doute, mais sans le nazisme responsable de la mise en fuite des savants européens le « crime de guerre » et « crime contre l’humanité » n’auraient pas pu être commis…

Comment démêler les responsabilités respectives ?

Le nazisme est le père spirituel, celui qui à inspiré la nécessité urgente de la bombe atomique. Par cette bombe immédiatement utilisée sur des innocents le nazisme est bien le père spirituel et elle, la bombe atomique, le fait survivre avec elle. En perdant la Seconde Guerre mondiale, le nazisme n’aurait donc perdu qu’une bataille. Le totalitarisme nazi survit après la guerre métamorphosé en bombe atomique en un nouveau totalitarisme purement technico-scientifique, libre et débarrassé de toute contrainte « idéologique » politique ou religieuse. Par le national socialisme l’humanité entre dans « l’Age Atomique ».

La paternité naturelle est assurée, indéniablement en association, par les savants européens. C’est dans leurs têtes qu’a germé la bombe atomique. Dans cette affaire « La Science » a satisfait la fonction moderne de « mère porteuse ». Mais une fois la bombe livrée et mise à disposition « clés en main » prête à l’emploi, les savants, de l’élite scientifique mondiale, sont remerciés de leurs bons et loyaux services. On leur fait comprendre qu’ils ont bien, « très bien travaillé », qu’ils méritent une « bonne et paisible retraite », qu’il serait « bête de ne pas en profiter ». Et surtout, on tente de leur faire comprendre gentiment qu’il n’est plus nécessaire pour eux, « de se mêler de politique » ou de géopolitique, « sujets trop savants et trop complexes » pour leurs petites têtes « bien pleine » à eux…

Le père adoptif, le militarisme américain « d’extrême droite », a immédiatement revendiqué son « droit parental » sur la bombe. C’est lui qui a recueilli des savants égarés et désorientés, il les a mis sous sa protection, leur a assuré « le gîte et le couvert ». C’est lui qui a payé « la pension alimentaire » de la « mère porteuse ». C’est à « bon droit » qu’il ne veut pas se faire déposséder de cette bombe. C’est toujours à « bon droit » qu’il repousse les prétentions de ceux qui revendiquent encore leur « paternité naturelle ».

La bombe tombe sur Nagasaki. Le père spirituel survit par l’œuvre qu’il a inspirée et le père adoptif comblé célèbre l’Age Atomique et mobilise le monde à sa suite pour la « Cause Atomique ». Pendant que certains pères naturels découvrent leurs incompétences et leurs inconséquences politiques, d’autres grosses têtes « bien pleines » de « premier de la classe » décident de collaborer pour perfectionner la production industrielle des engins de mort scientifiques. La course à l’armement atomique est devenue avec la chimie des pesticides un « bon employeur » pour les « têtes bien pleines »…

Lire la seconde et dernière partie

(1) Anne Lauvergeon « La troisième révolution énergétique » Ed. Plon 2008. p. 41 et 47 chapitre 2 « Ça va chauffer ».
(2) Günther Anders « L’obsolescence de l’homme » Ed. Ivrea 2002 « Annihilation et nihilisme page 338
(3) Ce paragraphe est écrit sur les donnés biographiques présentées par Hubert Reeves dans son livre « L’heure de s’enivrer » première partie « pulsion de mort » « 1. La bombe est parmi nous ».
(4) Haliaetus leucocéphalus est l’emblème du grand sceau des États-Unis d’Amérique.

14 commentaires sur “L’Apocalypse réhabilitée par la « Religion du Progrès » (1)

  1. CarFree

    Dans le même ordre d’idées, j’ai pu voir hier soir sur Arte le documentaire qui prouve les mensonges d’Areva et d’EDF concernant le « retraitement » des déchets nucléaires… Edifiant! La Russie est devenue notre poubelle nucléaire et les dirigeants d’Areva (Ex-COGEMA) se vantent dans le même temps de gérer une industrie « recyclable »… oubliant de dire aux gens que seulement 10% des déchets nucléaires sont retraités… Et dire que certains croient religieusement qu’on fera rouler le parc automobile avec des éoliennes et de l’énergie solaire…

  2. CarFree

    Je reproduis ici un commentaire intéressant de cet article fait sur fessebouc par Olivier:

    Article excellent. L’Allemagne disposait d’ingénieurs et de scientifique parmi les meilleurs au monde. La propagande nazie nous illusionne encore aujourd’hui: loin d’être une idéologie régressive de retour à un âge d’or mythique, sa volonté de puissance démontre le caractère hypermoderne du totalitarisme. Même si l’esprit völkisch était une critique virulente et aberrante de la modernité industrielle, le recours à la technoscience pour remodeler le genre humain et développer l’appareil militaro-industriel inscrit le nazisme dans cette « religion du progrès » qui ne pourra aboutir qu’à une nouvelle Shoah, planétaire cette fois.

  3. stoppeur

    Ce qui est particulièrement imbécile,c’est de croire que les « hyper-infrastru ctures » vont tirer la « Société de Consommation » de la récession économi que qui s’amorce…Bien entendu,rares sont ceux qui n’envisagent pas de profonds changements dans la manière de produire de l’énergie et de s’en servir…Là est tout le débat:la « Société de Consommation » et la « Mondiali sation » ont-elles encore une raison d’être?Les cultures d’OGM vont-elles précipiter ou non la faim dans le monde(disparition des abeilles,en raison de la disparition des espèces sauvages et rustiques,réservoirs des carac tères de base de chaque espèce)?Les producteurs d’oranges californiens « importent »les abeilles du Nord des USA:les traitements de pesticides ont décimé les ruches par leur fréquence et leur intensité…

  4. stoppeur

    Alors,bien évidemment,si un fêlé quelconque décide d’employer la bombe thermonucléaire pour gagner sa partie d’échecs avec son voisin,là ,on au rait plus beaucoup de questions à se poser sur l’avenir de l’Humanité…Ou alors,trop de questions surgiraient à la fois;ça noierait l’Humanité dans ses turpitudes les plus fatales…

  5. Philippe Schwoerer

    Combien auront été touché par ces reportages au point de quitter EDF pour essayer de produire soi-même de l’électricité, créer sa coopérative ou rejoindre Enercoop ? Là est la vraie question. Dire non au nucléaire, c’est déjà le signifier en acte.

    L’enjeu dépasse (mais inclus, of course) allègrement le problème de l’automobile électrique.

  6. Tommilidjeuns

    Philippe a raison de soulever la question.
    Moi je suis pas spécialement pour ou contre l’automobile (électrique ou pas) en tant qu’outil, et j’utilise la mienne le moins possible, comme j’éteins la lumière quand je quitte la pièce par exemple.
    D’ailleurs en parlant de lumière, de par mon métier (je suis monteur électricien), je constate des aberrations : sur les chantiers d’immeubles de bureaux par exemple, on me fait installer huit lampes fluos de 56 watts chacune dans un sas de deux mètres par quatre qui n’est qu’un lieu de passage, la où un seul tube suffirait, (et même un bloc secours si çà ne tenait qu’à moi); multiplié par le nombre de sas, le nombre d’étages, le nombre d’immeubles de bureaux dans le monde, faites donc le calcul…Mais moi hein, je suis juste le petit électricien de base, les « études » sont faites dans les (justement) bureaux par des soi disant techniciens payés le double de moi, payés pour faire accepter au client que c’est çà qu’il leur faut dans leur sas, payés pour refiler à tout prix des prestations et du matos.

    C’est juste un exemple très concret de l’abominable gaspillage dont tout le monde se fout éperdument.

    Vais je refuser d’installer les huit lampes dans le sas ? Non, car c’est mon job, alors comme j’en ai marre de me faire virer quand je dis çà à un chef d’équipe, maintenant je m’écrase mollement et j’installe mes lampes sans me poser trop de questions si je veux garder mon travail.

    Et il en va des lampes comme des réacteurs nucléaires : plus de cinquante en France au lieu de… 1 ? 2 ? allez, maximum quatre je dirais…
    Mais je ne suis pas un spécialiste et je suis très mauvais pour les calculs, faites les donc vous mêmes.

    Alors quand je vois le énième documentaire comme celui d’Arte, que je vois ce monstre qu’est la Hague qui balance allègrement des tas de saloperies dans l’eau, dans l’air, et le type de la Criirad qui explique tout çà d’un ton si détaché, j’aurais tellement voulu qu’il dise, qu’il crie, qu’il hurle dans le poste : bon peuple de France et de Navarre, (de Russie, d’Amérique, de partout),vois comme on se fout bien de ta gueule depuis des décennies, vois comment on détruit ton présent, ton avenir et celui de tes gosses, non, lui le scientifique de la Criirad, il fait comme moi, il fait juste son job et c’est tout, il doit être bien payé sûrement, va…

    Alors ces histoires de Co2 qui sortent de mon tuyau d’échappement, est ce vraiment nécéssaire de se créper le chignon sur carfree pour çà ? On atteint tellement les limites du supportable que çà en devient banal, comment on en est arrivés là ? Comment des électeurs sensés peuvent ils laisser faire çà ?
    Et pourquoi une dizaine de pelés sortis de l’Ecole de Mines ont ils le pouvoir d’imposer leurs choix technologiques à tout un peuple ? Je le savais même pas moi, jusqu’au documentaire, que c’était eux les responsables de tout çà.
    Et la séquence avec les deux autres guignols Ségo Sarko qui prétendent diriger le pays et ne savent même pas à quoi on joue, c’est vraiment pitoyable.

    Allez, faut que je me calme, je vais plûtot regarder un De Funès la prochaine fois.

  7. Pim

    He Beh! Tommilidjeuns, quel coup de gueule. Je comprends bien ta frustration va!
    Tu as bien raison de souligner que le problème va bien au delà du crepage de chignon pour quelques grammes de CO2 en plus ou en moins selon automotopabo ou selon Carfree….
    Heureusement, de nombreux articles essaient d’aller plus loin en proposant des solutions (mieux se déplacer ), en faisant découvrir des nouveaux modes de vie (écoquartiers), et toujours en dénonçant les énormités (éco autoroutes) qu’on essaie de nous faire gober.
    On ne peut pas se battre sur tous les fronts à la fois. La bagnole est une grosse saloperie. Du moins son utilisation excessive, son modèle économique, la façon dont on a rendu les gens dépendants du monsieur tout le monde jusq’aux plus hauts placés. Le nucléaire en est une autre. Et tous les autres ( « Etc… » pour les latinistes)!

    PS : je suis impatient de le regarder, quand j’aurai un peu de temps!!!!!

  8. JMS

    Je bénéficie de l’exceptionnel privilège de ne pas posséder d’appareil de télévision.
    Cela me crée quelques ennuis avec le « fisc » qui veut à tout prix que j’en possède une pour récupérer une « redevance audiovisuel (verte) » pour peut-être protéger la Planète…
    Si j’ai bien compris, ceux que je sais en lisant de vieux mais toujours actuels auteurs comme Günther Anders, vous l’avez vu de vos propres yeux sur « Arte ».
    L’apocalypse nucléaire est en effet connue depuis les tous débuts de l’Age atomique…
    Je comptai proposer un article sur les « déchets nucléaires », mais apparemment la télévision l’a déjà fait en image.
    Y a-t-il une âme charitable qui veuille bien me faire un petit compte rendu de ce qui à était montré sur le « petit écran »
    A propos de « petit écran », Günther Anders en a dit « quelques mots » dans « L’Obsolescence de l’Homme » et c’est presque aussi terrifiant que le nucléaire.

  9. stoppeur

    D’abord,pour faire un peu d’histoire pré-nazie,je voudrais vous rappeler qui a « relancé » l’Allemagne bien avant l’avènement du nazisme:les E-U.Soit Ford en industrie auto,;puis moteurs d’avion, »grâce » aux bons offices de Lindhberg,qui a « plaidé » pour installer des usines en Allemagne.Le top du top,c’est le financement du redémarrage de l’industrie allemande après le « hold-up » français pour payer le prix de la Guerre par Rockfeller et Rothchil d!!!Incroyable mais vrai!Idem après la 2e guerre,ce qui devait mettre l’Alle magne en pointe au niveau économique,avec les E-U pour « squatter »l’Euro pe…Du coup,certains ont voulu singer cette insolente réussite,voilà les ori gines des dégradations subies par notre belle planète…Nucléaire compris! Et maintenant,crise se faisant,il va falloir revenir en arrière…?!!!

  10. L'URSS Nucléaire

    J’ai pris connaissance du documentaire sur « Arté ».
    Je proposerai donc à carfree un commentaire sous forme d’article dont le titre sera « L’URSS Nucléaire ». Je n’en dis pas plus…
    Comme le documentaire de Arté n’interfère pas avec mon article sur les déchets nucléaires je pourrai le proposé aussi à carfree. Son titre est « La vérité vraie révélé sur les déchets selon sainte sœur Anne ».
    Dans les deux cas il s’agit d’un traitement littéraire sur le retraitement des déchets nucléaires. On verra dans ce cas qu’il est possible de connaître la vérité sur les déchets, sortante de la bouche même de sainte sœur Anne.
    A bientôt
    jms

    PS : demande à carfree de pouvoir mettre un titre à un commentaire, ce que j’ai fait ici en utilisant la case « nom » pour afficher le titre en gras

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