Catalogue de vélos introuvables

Vous pouvez constater que je suis aussi bon avec un scanner qu’avec un appareil photo. Voici quelques images tirées du Catalogue d’objets introuvables de Carelman. A vos établis pour que toutes ces merveilles prennent vie.

La bicyclette de repos a quand même un côté prémonitoire et fait rudement penser à un vélo couché.

Quant à moi, ma préférence va vers la pipe, elle me donnerait presque envie de reprendre.

(Cliquez sur les images pour les agrandir)

Pipe de cycliste

Source: http://latetedansleguidon.blogspot.com/

7 commentaires sur “Catalogue de vélos introuvables

  1. Aziz

    Ah! j’oubliais, un seul regret, c’est que la musique s’arrête au feu rouge…

  2. Jean-Marc

    Ce genre de délire est tjrs intéressant :
    il peut montrer les pb réels ou supposé du vélo.
    (le vélo-couché K10, car le vélo serait fatiguant;
    le vélo-strapontin K15, car il faut bien trouver un moyen de déplacement pour ses enfants, s’ils ne sont pas en âge de conduire eux-même un vélo,
    …)

    fiction/réalité… celà se mélange, en fait :

    – le K15 strapontin : les sièges enfants existent
    – le véloK9, la godille existe en vélo couché (roue avant motrice, arrière directionnelle)
    – K14, les coudières, existent… mais pas en position repos… bien au contraire :
    en position « ultra-course » : 2 coudières prolongeant le cintre, vers l avant.

    Par contre, il y a une réalité que je n ai pas encore vu,
    une sorte de rêve, pour moi :

    Un dérivé du K7 rouleau compresseur, qui m’intéresserait fortement :
    une tondeuse à main (un rouleau constitué de lames, entre 2 roulettes), pour une roue;
    et, pour l autre roue, soit une tondeuse à main là aussi, soit simplement plusieurs roues larges (tricycle) de l’autre coté, afin de ne pas s’enfoncer dans la terre.

    Ce véhicule, vélo-tondeuse, servirait pour tondre de grandes étendues d’herbe, sans tondeuse autoportée à essence.
    (la tondeuse à main -sans vélo- n est pas pratique, sur de grandes étendues…)

    Cependant, ce vélo-tondeuse est un « rêve » inutile :
    c est une fausse solution à un vrai problème…
    car c est une solution qui pose pb, alors que la vraie solution est encore plus simple :

    – les tondeuses à essences polluent énormement (et sont bruyantes, surtout les dimanches matins),
    le vélo-tondeuse permettrait d avoir les même pratiques, en polluant moins (et en faisant moins de bruit + en améliorant la santé et le portefeuille des « tondeurs »)

    – la vraie solution est encore plus simple : d’un point de vue biodiversité, écologique, il serait mieux de ne jamais tondre, même avec un vélo-tondeuse, surtout jamais à raz, créant des zones de non vies, dites coupes « anglaise » ou façon « green » ; mais de faucher 1à 3 fois par an (accompagné de desherbage à la main, en complément)

    [si fauchage une seule fois par an, alors la faire en début novembre, en laissant la coupe sur place : elle formera un paillage + ensemencement naturel : elle protégera le sol du lessivage pendant l’hiver, et participera, en se décomposant lentement + par l’ensemencage des graines*, au renouveau, l année d après.
    Idéal pour une prairie feurrie, mais aussi pour n’importe quelle zone de jachère, d’herbage, de biodiversité]

    * il faut faucher après la montée en fleur.

    Mais bon, changer la mentalité de millions de « jardiniers » du dimanche, qui tondent leur pelouse avant ou après avoir lavé leur voiture, ne parait pas évident…

    A l’inverse, marcher dans 15-20cm d’herbe haute ne tue personne…
    Surtout pas les abeilles, coccinelles, vers, hérissons, taupes ou autres auxillières; bien au contraire.

  3. Jean-Marc

    Merci,
    par contre, il s agit de bidouilles de particuliers, pas d’un produit commercialisé ni commercialisable :

    -> impossible qu’une municipalité ou une entreprise achète ces bidouilles pour ses espaces verts.

    -> plus dur pour un particulier de fabriquer son vélo-tondeuse, que d acheter une tondeuse élec/essence toute faite.

    Seule exception : un projet fait par un lyçée, d aspect très pro :
    une remorque-tondeuse, à mettre-enlever derrière un vélo équipé d’une attache-remorque :

    http://lpchateau.pagesperso-orange.fr/projet/velotondeuse/velotondeuse.html

    Peut-etre qu’une petite série en découlera, si une entreprise s’y intéresse ?

    Même si, pour la « prochaine » version (dans le « futur », en 2009-2010), ils veulent créer un truc trop complexe* :

    Mettre l’électricité avec panneaux solaires et batterie… pour connaitre la vitesse de rotation des lames…

    [heu, le cycliste-tondeur ne sait pas se retourner ?
    et voir s’il a pédalé trop lentement pour couper net ?
    et donc devoir faire un 2eme passage ?
    surtout qu’un compte-tour sans pile, fonctionnant avec 2 aimants (un sur fouche, l’autre sur rayon d’une roue), permet de connaitre sa vitesse de déplacement…
    et donc, par règle de 3, la vitesse de rotation des lames;
    et, s’il faut vraiment un peu d’élec, une dynamo suffit largement :
    les 3 diodes de bacs plein (une par bac) ne consomment pas tant que celà…].

    * pour un lyçée, cette complexification inutile se justifie :

    le but n est pas de produire un engin utile;
    mais d’avoir un outil pédagogique sur lequel les élèves doivent mettre en pratique leurs connaissances théoriques…
    S’ils installent l’élec, c est des TP en plus pour eux.

  4. Ochiaberi

    Ben moi aussi je rêve d’un vélo-tondeuse : j’ai une tondeuse à mains mais je trouve ça vraiment long de faire tout le terrain, surtout que je le fais le moins souvent possible alors je dois d’abord faucher (à a la faux) et après tondre parce que j’ai un jardin de ville que je ne peux pas vraiment laisser monter indéfiniment et j’ai besoin de la tonte pour pailler mon potager… Je n’avais jamais pensé à l’application « travaux publics » mais ce serait top à la place du machin ultra bruyant et polluant.
    Sinon, mon préféré, c’est l’accessoire « bidet » pour la vidange en route !

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