La clé du bonheur? Renoncer à sa voiture!

Je reviens sur votre blog favori après une assez longue absence avec un nouveau micro-trottoir extrait du JT de 20h du mardi 27 mai 2014.

La Danoise interviewée y affirme: « … j’ai pas besoin de voiture pour aller au travail, j’y vais à vélo, c’est peut-être pour ça que je suis heureuse… »

Bien sûr, ce reportage intervient dans un contexte très particulier au lendemain d’une incroyable défaite électorale, mais cette affirmation, des millions de téléspectateurs l’auront entendue lors du journal télévisé du soir au détriment du commerce automobile Français…

GC,
Les Voies Vertes en 06-Ouest

5 commentaires sur “La clé du bonheur? Renoncer à sa voiture!

  1. Jean-Marc

    Quand j entend râler mes collègues automobilistes
    (contre un accident (salauds de blessés ! ils devraient crever, celà leur fera les pieds, de M’ avoir, MOI, retardé ! ! !), contre le prix des pièces/assurance/carburants/sapin de rétro intérieur/jante alupollies à la main; ou contrez un autre des « avantage » de la voiture)

    je me dis, qu’effectivement,
    la voiture, c est l enfer pour le conducteur, et le vélo, c est que du bonheur :

    les 2 seuls cyclistes quotidiens de ma boite, sont -en général- d humeur bien plus agréable que la majorité des automobilistes…

    D ailleurs,
    le cauchemar du trajet quotidien en voiture a été prouvé :

    http://thefuturebuzz.com/2013/09/24/your-commute-is-likely-a-cause-of-unhappiness/

    sur le moyen et long terme, il est moins désagréable de perdre un bras, que de devoir faire des km en voiture…
    c est dire la folle « joie » d être un rurbain…

  2. no brakes

    et moi qui voulait justement émigrer au Danemark avec mon vélo dans un futur proche…

  3. Abel

    « Il est grand temps d’interdire l’automobile »
    titre même l’éditorial du bulletin de la SIA.
    C’est quoi la SIA ? Lien dans ma signature

  4. pédibus

    quel malheur qu’on ne sente pas encore aussi sûrement le désamour automobile chez nos contemporains : combien de fois entend-on encore parler de « voiture » et non de « bagnole » dans des discours quotidiens insignifiants, premier indice d’une cote qui reste élevée pour l’objet qui nous préoccupe, dans le système de valeurs de nos semblables, il me semble…

    autre chose qui me turlupine un max : quel lien idéologique percevoir entre les associations pro bagnole, style « 40 millions d’automobilistes », et le FN?…

Les commentaires sont clos.