Mai à vélo

En avril, ne te découvre pas d’un fil, en mai… fais du vélo! L’idée de « Mai à vélo », c’est de dépasser le concept de « journée du vélo » une fois par an pour mettre le paquet sur un mois entier, un mois pour adopter le vélo pour la vie!

Mai à vélo est un collectif d’institutions du monde du vélo, initié par le ministère de la Transition écologique et le ministère des Sports au printemps 2020, en réponse à l’augmentation inédite de la pratique du vélo, tous modes confondus, enregistrée sur l’ensemble du territoire, à la suite de la crise sanitaire et du développement des corona-pistes cyclables.

Il s’inscrit dans la continuité des événements nationaux, tels que la Fête du vélo, portés par plusieurs institutions constituant la nouvelle coordination nationale de Mai à vélo. L’ambition est d’amplifier cette dynamique cyclable, mais surtout de l’inscrire dans la durée, auprès du plus grand nombre, partout en France.

Mai à vélo rassemble toutes les actions entreprises localement, sur tout le territoire, pour promouvoir la pratique du vélo, sous toutes ses formes, auprès du plus grand nombre, à travers des événements cyclables, pédagogiques et populaires.

Retrouvez tous les projets et toutes les actions sur la plateforme www.maiavelo.fr

3 commentaires sur “Mai à vélo

  1. marmotte27

    Dans la réalité de tous les jours :

    pas un cycliste en plus sur mes routes, par contre de plus en plus de SUVs et ceux-ci de plus en plus gros
    une circulation motorisée en constante augmentation
    en plus des 1-5 dépassements dangereux « classiques », de plus en plus de comportements franchement ahurissants des motorisées
    une politique , des forces de l’ordre inactifs, absents, désespérantes

     

  2. mat b

    @marmotte Je prépare mon voyage cet été. Ingelsheim, Vosheim Obernay Ottro Mulhouse Colmar Neuf Brisach.  Tu vois, déjà 4 cyclos en plus sur tes routes, MAIs en juillet

  3. pedibus

    oui Marmotte, et même dans les villes écolos on assiste à une recrudescence fulgurante du stationnement automobile sur trottoir et équipements cyclables, pendant « naturel » de l’inaction édilitaire :

    bordel innommable par exemple à Bordeaux…

    quant aux limitations de vitesse, zones 30, 20, « partagées » et autres doubles sens cyclables c’est désormais « l’auto-terrorisme » comme dernière mutation de l’automobilisme post-COVID…

     

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