À poil pour la sécurité routière

Dans le Haut-Doubs, on paye de sa personne pour sensibiliser aux dangers de la route. Le maire du Touillon-et-Loutelet (Haut-Doubs), Sébastien Populaire et ses conseillers municipaux se sont déshabillés devant l’objectif pour sensibiliser leurs administrés à la sécurité routière. Avec en  guise de cache-sexe, des panneaux routiers indiquant une vitesse maximum de 30 km/h. Lire la suite…

Crash au Conseil national de la sécurité routière

Deux experts démissionnent du Conseil national de la sécurité routière qu’ils jugent « en perdition ». Claudine Perez-Diaz, sociologue et chargée de recherche au CNRS, et Claude Got, professeur de médecine spécialiste de l’accidentologie, annoncent dans une tribune au journal « Le Monde » leur décision de démissionner du comité des experts auprès du Conseil national de la Sécurité routière, estimant que l’organisme « n’assume pas ses fonctions ». Lire la suite…

Pourquoi préférer le vélo-risque au risque voiture

Le vélo est-il plus risqué que la voiture? Et si c’était l’inverse? Vain débat! Le risque est un besoin fondamental de l’âme humaine. La question n’est donc pas celle du plus risqué mais celle du mieux risqué. Partant de là, pourquoi sur des distances raisonnables, préférer le vélo à la voiture? Parce que le risque vélo est plus fructueux que le risque voiture. Lire la suite…

Non, les cyclistes ne sont pas plus infractionnistes que les autres usagers

Une nouvelle étude à charge contre les cyclistes a été publiée ce lundi 24/11/2014 sur la base de seulement 1041 cyclistes interrogés dans une dizaine de villes françaises, et qui généralise ses conclusions à l’ensemble de la communauté cycliste. « Plus de 60% des cyclistes en ville se mettraient eux‐mêmes en danger en ne mettant pas de casque, et 52% en ne portant pas de gilet fluo ». Lire la suite…

Ce que les automobilistes ne paient pas

En 2010, le transport en Suisse a causé 9,4 milliards de francs (environ 7,8 milliards d’euros) de coûts dans le domaine de l’environnement, de la santé et des conséquences d’accidents. Tel est le constat d’une étude menée sur mandat de l’Office fédéral du développement territorial (ARE). Outre les coûts externes du transport routier et ferroviaire, le relevé incluait aussi, pour la première fois, ceux induits par le transport aérien et naval ainsi que par les déplacements à vélo et à pied. Lire la suite…