Ce qui manque aujourd’hui, ce n’est pas tant une volonté de changement profond du côté des citoyens, c’est un soutien politique réel aux initiatives radicales. Obnubilés par les sirènes d’un « capitalisme vert » qui permettrait de poursuivre le (green) business as usual, nos décideurs s’arc-boutent sur les enjeux budgétaires de court terme, la relance des investissements privés, le plan Marshall « 2 point vert » et les arcanes d’une « politique énergétique » bien difficile à saisir. Ce qui reste dormant sous la surface, étouffé par les urgences du moment, c’est le vaste chantier de la transition économique – notre transition économique vers le post-capitalisme. Lire la suite…
