3 raisons incroyables pour lesquelles vous devriez marcher plus souvent

Je tombe, grâce à Facebook, sur un article en anglais qui attise ma curiosité. Je n’ai plus à démontrer mon goût de la marche-à-pied, goût d’autant plus démesuré qu’à chaque pas que je fais, je me dis qu’il contribue à ridiculiser ces étranges victimes de la publicité automobile qu’on croise à bord de leur véhicule sur les routes. Lire la suite…

Big Business avec les Gaz de Schiste

2e partie, (2/3)
Segment amont, la logistique de l’écocide

Ce groupe du Big Business avec les gaz de schiste donne le plus grand nombre de têtes à l’hydre extractiviste. L’effectif est en proportion de la complexité technologique de la fracturation hydraulique et de sa mise en œuvre… On se contentera de nommer les principales figures et de les présenter avec quelques éléments de leur pedigree… Comme précisé dans la première partie, il s’agit surtout ici de mettre en évidence leur arrivisme, leur opportunisme et leur responsabilité active dans la montée du « capitalisme du désastre » tel que le décrit Naomi Klein. Lire la suite…

Parking vue sur mer

Photo prise en contre-bas du Cap Griz-Nez, département du Pas-de-Calais (62), « site remarquable labellisé Grand Site de France, classé en zone naturelle d’intérêt écologique, faunistique et floristique » (source: Wikipedia).

À poil pour la sécurité routière

Dans le Haut-Doubs, on paye de sa personne pour sensibiliser aux dangers de la route. Le maire du Touillon-et-Loutelet (Haut-Doubs), Sébastien Populaire et ses conseillers municipaux se sont déshabillés devant l’objectif pour sensibiliser leurs administrés à la sécurité routière. Avec en  guise de cache-sexe, des panneaux routiers indiquant une vitesse maximum de 30 km/h. Lire la suite…

Place !

On attribue souvent à Georges Pompidou la célèbre formule « Il faut adapter la ville à l’automobile ». Qu’elle soit de lui ou pas, toujours est-il que les villes modernes s’y sont “adaptées”, à tel point que l’on ne peut plus imaginer l’une d’entre elles (du moins en France) sans ses sempiternels alignements de voitures garées. Lire la suite…

Préface à l’édition italienne de Le temps qu’on nous vole

« Un monde dans lequel la vitesse des transports serait limitée à vingt-cinq kilomètres à l’heure serait un autre monde. » Ainsi s’exprimait récemment une amie de longue date, lectrice assidue d’Ivan Illich. Elle ajoutait: « Au fond, le seul thème d’Illich dont la réception publique soit quasi inexistante est celui des limites, en particulier de celles qu’il faudrait imposer à la vitesse. » Lire la suite…