Salon et colloque sur les vehicules à propulsion humaine et les vélomobiles fin septembre

Les 25 et 26 septembre prochains aura lieu à Saint-Romain de Colbosc (tout près du Havre) , un salon et un colloque sur les véhicules à propulsion humaine et les vélomobiles. Les véhicules à propulsion humaine seront présentés aux Journées Eco’Akt. Venez essayer la voiture de demain… et découvrez une nouvelle façon ultra écologique de vous déplacer. Testez-les sur le parcours dès le samedi après-midi. Lire la suite…

Masse critique parisienne le 22 septembre !

À la fin de la « Semaine de la mobilité et de la sécurité routière » (!), le jour de l’ex-journée-sans-ma-bagnole, rassemblement spontané contre l’immobilité écologique et pour le triomphe des cyclistes urbains. Rendez-vous à 18h30 très précises pour tourner place de l’Étoile, s’insérer dans le trafic et recycler de l’espace public au sol. Lire la suite…

Le « pape » du climato-scepticisme retourne sa veste

Pour les climato-sceptiques, notre cher Claude Allègre en premier, l’argumentation remettant en cause les résultats démontrant un dangereux changement climatique se basait sur des travaux scientifiques contestant les résultats d’une énorme majorité qui constatait, preuves à l’appui, que la situation devenait catastrophique. Le principal pilier de cette contestation portait même un nom, celui de Bjorn Lomborg. Lire la suite…

Brice Lalonde serviteur du faux (Rio 2012)

Brice Lalonde, Nicolas Sarkozy, Jean-Louis Borloo et Jean-Pierre Jouyet au Major Economies Meeting on Energy and Climate Change (MEM) de Paris le 18 avril 2008

Ce qui suit est une reprise d’un article publié mercredi passé dans Charlie-Hebdo. J’écris dans ce journal, oui. Entre autres. Et ce n’est pas de la pub, car cela dure depuis une année environ, et vous êtes assez grands pour savoir ce que vous voulez. Si je publie de nouveau ce texte, c’est qu’il annonce, je l’espère du moins, une mobilisation exceptionnelle contre le Sommet de la terre prévu en 2012 à Rio, vingt ans après celui de 1992. Ce qui se prépare, ce qui se jouera, c’est la parole publique légitime autour de la crise écologique. Il y a ceux comme Brice Lalonde, d’ores et déjà couchés devant le capitalisme vert, qui nous assure de nouveaux désastres. Et les autres, dont je suis. Puis-je vous demander de parler de tout cela autour de vous ? Je crois que se prépare un grand combat, une bagarre que nous ne pouvons pas perdre. Peut-on parler d’une priorité ? Il faut en faire LA priorité des prochains mois. Beaucoup ici se demandent quand et comment se lever ensemble. Voilà une occasion unique. Lire la suite…

Le ministère de l’impossible

Le ministère de la protection de la nature et de l’environnement est créé en 1971. Sous Pompidou. Mal barré: comment peut-il se faire une place dans une politique hyper productiviste ? Alors que le président de la République martèle qu’ « il faut adapter la ville à l’automobile », détruit des anciens quartiers pour dérouler des voies express, ferme des réseaux de chemin de fer, développe l’agriculture intensive à grands déversements d’engrais et de pesticides, Robert Poujade est réduit à l’impuissance. Ministre de 71 à 74, ce gaulliste droit analyse sans détour l’échec d’une politique écologique de façade. Lire la suite…

Jardiniers à Bicyclette

Voici une entreprise de Montréal (Canada) spécialisée dans le jardinage qui se déplace chez les particuliers ou dans les entreprises à vélo (avec remorque) ou grâce aux transports en commun. Une activité de plus pour la thématique vélogistiqueLire la suite…

Plus d’autoroutes et de TGV égale plus d’inégalités

Il fut un temps où le progrès social rimait avec celui de la technologie malgré les coûts multiples qui pouvaient déjà en résulter. Les avantages tirés du progrès technique pouvaient justifier la dureté de la condition ouvrière comme celle des mineurs, ces soutiers de la première société industrielle. Les transports rapides, l’électricité, l’équipement des ménages profitaient à tous ou du moins, tous pouvaient espérer en profiter. C’est ainsi que Ford incita ses ouvriers à s’endetter pour acquérir une automobile. Cette situation dura en France jusqu’à la fin des « trente glorieuses ». Lire la suite…