Los Angeles, symbole de la ville étalée américaine : ici sans voiture point de salut pour naviguer dans une ville sans densité s’étendant sur plus de 200 km
On connaissait les climato-sceptiques, ces scientifiques qui n’hésitent pas, pour un juteux projet de recherche chez Shell, Total… ou pour un peu de visibilité médiatique, à contester l’origine anthropique du réchauffement climatique. On connaissait moins les scientifiques qui réfutent les ravages environnementaux de l’étalement urbain. Ça a un peu changé ces dernières semaines. La Banque Mondiale en a en effet offert fin janvier une tribune inespérée au Lincoln Institute of Land Policy pour qui visiblement l’avenir est aux suburbs de « quatre-façades » à perte de vue… Lire la suite…