La dépendance à la voiture des habitants des villes contemporaines est une préoccupation majeure pour les décideurs politiques, qui ont souvent du mal à convaincre les gens d’adopter des modes de transport plus durables. Or, de récentes découvertes en neurosciences ont montré qu’un large éventail de comportements peuvent devenir habituels et, par conséquent, résistants au changement. Nous présentons ici le potentiel d’une collaboration entre les neurosciences et la géographie humaine visant à mieux comprendre les habitudes qui déterminent les déplacements quotidiens. Lire la suite…
