Comme l’avait prédit Alain Peyrefitte, la Chine s’est éveillée… et pollue! D’une société de la bicyclette, elle passe au stade de société de l’automobile. Son décollage économique actuel se traduit, malgré la crise économique mondiale, par une “faim d’énergie” sans précédent, alimentant les tensions mondiales sur les cours des matières premières. Car la crise mondiale ne touche pas les pays de la même manière: si dans les pays occidentaux on parle désormais de croissance 0 ou de même de récession, en Chine, la crise mondiale se traduit en fait par un taux de croissance de l’économie qui passe pour la première fois depuis longtemps en-dessous de 10%! (La Chine prévoit une croissance de 8,3% de son PIB en 2009). Lire la suite…
