La civilisation de l’automobile

Futuribles / Etude rétrospective et prospective des évolutions de la société française (1950-2030)

La civilisation de l’automobile

C’est au sortir de la Seconde Guerre mondiale que fut lancé, en France, le projet de la démocratisation de l’automobile qui avait été initié Outre Atlantique par Ford et General Motors dans les années 1920. La généralisation progressive de la «motorisation des ménages» s’est accompagnée d’un développement de l’infrastructure routière. Cette entrée dans l’ère de l’automobile a contribué à modifier profondément tant le rapport des Français à l’espace et au temps que la structure et la forme des villes. On s’interrogera sur les futurs envisageables à l’horizon de l’entrée du marché de l’automobile dans sa phase de maturité. Lire la suite…

Quand la Chine polluera…

Comme l’avait prédit Alain Peyreffite, la Chine s’est éveillée… et pollue! D’une société de la bicyclette, elle passe au stade de société de l’automobile. Son décollage économique actuel se traduit par une “faim d’énergie” sans précédent, alimentant les tensions mondiales sur les cours des matières premières. Lire la suite…

Automobile et décroissance

Si l’on considère que notre bonheur, nos relations avec les autres, sont plus importants que l’accumulation de biens pour stimuler la croissance économique, alors la remise en cause de l’automobile devrait être un des premiers enjeux de la décroissance. L’automobile est en effet un outil majeur de la conception économique actuelle du monde. Lire la suite…

Toujours plus d’automobiles à Montréal

François Gosselin
mardi 7 septembre 2004
Sur le Web: Le Devoir (2004/09/07)

Toujours plus d’automobiles à Montréal

Chaque année, le mois de septembre est synonyme de rentrée scolaire, de retour au travail, mais, inévitablement, on retourne au travail assis dans une voiture. Et chaque année nous apporte au bas mot 50 000 automobilistes supplémentaires dans la grande région de Montréal. Le royaume de l’automobile se porte très bien. Et pourtant, les rues ne sont pas plus larges et les ponts ne sont pas plus nombreux. Lire la suite…