Ville saturée, hyper-urbanisée (au détriment notamment des terres cultivables) et connaissant de nombreux pics de pollution tout au long de l’année, Grenoble et son agglomération sont aujourd’hui des modèles de ce qu’il ne faut pas faire en terme d’urbanisme. Or, à l’heure des bouleversements climatiques et de la crise écologique multiforme, il existe pourtant un risque non négligeable de voir par exemple de nouveaux projets routiers rendus compatibles avec le ScoT (Schéma de cohérence territoriale) et de constater que l’obligation « d’intégrer l’empreinte écologique » peut faire l’objet d’interprétations pour le moins réductrices… Un film réalisé par les Amis de la Terre Isère rappelle que les occasions ne manquent pas pour les décideurs locaux de se passer de l’avis de la population dans la mise en œuvre de grands projets (Minatec). Lire la suite…
