Comment « gagner » la guerre d’Irak, quand on est américain

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Banksy – Car

Fondamentalement ou à tous les points de vue, politique, économique, moral et historique, la guerre du Vietnam a définitivement été gagnée par les américains. Ce que l’Amérique voulait est totalement réalisé. Les milieux affaires s’activent « comme chez eux » dans ce pays « libéré », en « modernisation économique » accélérée. Le capitalisme et « les libertés de commerce et d’entreprise » y dominent l’activité économique. Lire la suite…

La Bagnole, nouvelle unité de pollution

Un rapport récent commandé par l’éditeur de logiciels antivirus McAfee à l’ICF International, un organisme de consultants spécialisés dans des thèmes comme l’énergie, les changements climatiques et la santé, montre que l’ensemble des spams envoyés tous les ans à l’échelle de la planète équivalent à l’utilisation de 3,1 millions de voitures durant une année! Lire la suite…

La fin du monde (tel qu’on le connaît) est proche

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Jeff Rubin (*), en plus d’être l’un des économistes le plus en vue du Canada, est un rebelle, comme le confirme sa récente démission de la CIBC, après 20 ans de service. La raison: la publication d’un livre sur l’imminence du prochain choc pétrolier, que la banque refusait de cautionner. Entrevue autour d’une prédiction… qui ne laissera personne indifférent. Lire la suite…

Government Motors: Quel avenir pour les salarié(e)s et la planète ?

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Crise automobile, licenciements massifs, 
crise du productivisme, tels sont les sujets qui devraient être abordés ce mercredi 3 juin, à Ménilmontant, en compagnie d’une syndicaliste américaine de General Motors, Wendy Thompson, autour du thème global « Quel avenir pour les salarié(e)s et la planète ? ». Lire la suite…

Le cœur de l’automobile américaine a cessé de battre

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Partout, l’industrie automobile réduit les productions, licencie et reçoit des deniers publics. En Europe, les ventes de voitures neuves ont régressé de 7,8 %, avec un plongeon spectaculaire en Espagne, au Royaume-Uni et en Italie. Au Japon, elles ont diminué de 6,5 %, se retrouvant au niveau de 1974. Pour le numéro un mondial, Toyota, la baisse atteint 4 % au niveau international. Aux Etats-Unis, la chute est brutale, et l’existence même des trois grands constructeurs est menacée. Lire la suite>>

Un « Callporteur » à vélo pour assurer vos livraisons en ville

Le secteur du transport est responsable de deux tiers des consommations de produits pétroliers et d’un tiers des émissions de gaz à effet de serre en France. La moindre camionnette de livraison récente émet 230 grammes de C02/km (répondant à la norme euro 4) et les scooters de 125 cm3 rejettent de 80 à 100 g de CO2/km. Il y a donc un réel besoin de développer l’activité des livraisons à vélo dans les villes françaises. « Call Porteur » est une petite société de livraisons de plis et petits colis sur la métropole lilloise utilisant exclusivement le vélo. Lire la suite…

De la Révolution Verte aux Biocarburants, la vraie nature du Développement

Désastre, dévastation, désolation, misère, catastrophes en série ; tel est, au terme du demi siècle passé, le bilan de la « Révolution Verte », du « développement » et de l’industrialisation agricole. Catastrophe écologique, catastrophe humanitaire, catastrophe sanitaire, le bilan est d’autant plus lourd qu’aucun des objectifs humains affichés n’a été atteint. L’industrialisation de l’agriculture a certainement satisfait des « objectifs économiques », mais c’est en laissant sur son chemin une humanité plus que jamais déshéritée. Lire la suite…

Automobile : une crise structurelle

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Le secteur automobile subit la crise de plein fouet. Des difficultés conjoncturelles certes, mais pas seulement: l’industrie phare du XXe siècle souffre d’une surproduction au niveau mondial et d’une image ternie par ses coûts environnementaux. Les promesses technologiques annonçant pour demain une voiture verte ne sont pas à la hauteur de l’enjeu: la voiture la plus verte demeure celle dont on ne se sert pas. Lire la suite…

General Motors : 23.000 emplois supprimés

Le constructeur automobile américain General Motors a annoncé la suppression de 23 000 emplois dans ses usines d’ici 2011 et l’abandon de la marque Pontiac dans le cadre de sa restructuration.

D’ici la fin de 2010, le nombre d’employés de General Motors (GM) à travers le monde passera donc de 61 000 à 40 000 en 2010, puis à 38 000 en 2011.

Après avoir annoncé au cours des derniers mois l’abandon des marques de commerce Saab, Saturn et Hummer pour 2009, GM laissera aussi tomber Pontiac progressivement d’ici la fin de 2010.

Cela se traduira par la fermeture de 13 usines aux États-Unis d’ici décembre 2010, et de trois autres d’ici 2012. Durant cette période, le nombre d’usines américaines passera de 47 à 31.

Source: LesAffaires.com

General Motors : 7.000 à 8.000 suppressions d’emplois

Le groupe General Motors a présenté lundi une version durcie du plan de restructuration rejeté fin mars par le gouvernement américain, qui intensifie encore ses suppressions d’emploi, et a annoncé simultanément le lancement de la restructuration de sa dette.

Ce plan doit permettre à GM d’être rentable avec un marché américain de 10 millions d’immatriculation, contre 15 à 17 millions avant la crise, selon un communiqué diffusé par le premier constructeur automobile américain.

General Motors va ainsi supprimer 7000 à 8000 emplois supplémentaires chez ses ouvriers par rapport à ses plans initiaux, ce qui va ramener ses effectifs de production aux Etats-Unis de 61’000 à la fin 2008 à 40’000 en 2010.

Le nombre de ses usines principales va revenir de 47 à 34 d’ici la fin 2010 et 31 d’ici 2012, a-t-il indiqué dans un communiqué.

Source: Romandie.com

Quand le lobby pétrolier mentait sur le réchauffement climatique

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Un puissant lobby américain représentant les industries du pétrole, du charbon et de l’automobile, le Global Climate Coalition (GCC), dissous en 2002, a assuré pendant des années que le lien entre émissions de CO2 et réchauffement climatique étaient insuffisamment étayé pour justifier la ratification du protocole de Kyoto (1997). Pourtant, selon le New York Times et le Washington Post, un résumé de la question rédigé en 1995 par ses propres scientifiques concluait que « les bases scientifiques sur les gaz à effet de serre et l’impact potentiel des émissions d’origine humaine (…), comme le C02, sur le climat sont bien établies et ne peuvent pas être contestées ». Une affirmation qui ne figurait pas dans le document final publié par le GCC.

Source: Le Monde