La caravane à vélo des indignés du Nucléaire

Un petit groupe de gens déterminés peut-il changer le cours des choses et cette folie Nucléaire qui un jour, nous conduira à la même catastrophe qui frappa nos amis japonais? Les caravaniers ne se posent pas la question et ils savent avoir raison. Le vent de l’histoire souffle en leur faveur. Qu’importe s’ils sont une infime minorité, ils sont les seuls à porter la vérité et la sagesse, cela suffit à leur donner la force de subir les moqueries de tous les autres, confits dans un confort factice, installés dans une logique mortifère, méprisant les générations futures au nom d’un désir égoïste de bien-être. Lire la suite…

Capri c’est fini


Dans l’optique de la course (non motorisée) à l’élection présidentielle de 2017, j’ai décidé de lancer un petit blog sans prétention sur votre magnifique site écologiste afin de vous faire partager mes convictions très proches des vôtres ainsi que mes coups de gueule, dans le plus grand respect de mon ami Jean-François Copé. Lire la suite…

La Vélodyssée

Un nouvel itinéraire cyclable est né, la Vélodyssée. Soit 1210 km exclusivement réservés au vélo, à 80% en site sans voiture, traversant la France de Roscoff à Hendaye et se prolongeant en Angleterre et en Espagne. Lire la suite…

L’Archipel du Frioul sans voitures

Septième épisode d’une série consacrée aux îles sans voitures. Vous souhaitez passer des vacances réellement sans voitures? Vous voulez voir comment la vie sans voitures est possible? Visitez les îles sans voitures! Aujourd’hui: L’Archipel du Frioul. Lire la suite…

L’île de Bréhat sans voitures


L’île de Bréhat (Photo: FrancoisRoche)

Troisième épisode d’une série consacrée aux îles sans voitures. Vous souhaitez passer des vacances réellement sans voitures? Vous voulez voir comment la vie sans voitures est possible? Visitez les îles sans voitures! Aujourd’hui: L’île de Bréhat. Lire la suite…

Le spectacle du cyclo-voyageur

Celui qui a pour habitude d’effectuer ses déplacements quotidiens à bicyclette ne sera pas étranger à cet étonnement que le cycliste suscite presque spontanément chez ceux qui usent de la voiture – ou moins souvent du transport en commun – comme moyen principal de déplacement: « ah, tu as du courage », « bravo, moi, je ne pourrais pas », « félicitations »… outre que leurs congratulations ont souvent comme le goût de la chose qu’on adore pour les autres mais surtout pas pour soi, elles naissent d’un étonnement qui révèle lorsqu’on s’y arrête un instant la structure idéologique emmuraillée dans laquelle se trouve celui qui s’étonne, et donc qu’il est plus sain pour nous de s’étonner de leur étonnement que de nous sentir « étrangers », anormaux face à leur norme:  l’usager « est incapable d’imaginer les avantages apportés par l’abandon de l’automobile et le recours à la force musculaire de chacun. L’usager ne voit pas l’absurdité d’une mobilité fondée sur le transport. Sa perception traditionnelle de l’espace, du temps et du rythme propre a été déformée par l’industrie. Il a perdu la liberté de s’imaginer dans un autre rôle que celui d’usager du transport(1) ». Lire la suite…