Le premier à parler du rôle joué par General Motors (GM) dans la disparition du tramway fut E. Jay Quinby, un simple citoyen amoureux du rail. En 1946, il rédigea une étude montrant comment General Motors, associée à Firestone Tires, Phillips Petroleum, Standard Oil et Mack Truck, utilisait une société écran, National City Lines, pour atteindre ses fins. Il concluait par ces propos prémonitoires : « Vous allez réaliser trop tard combien un tramway électrique est infiniment plus confortable, fiable, sécuritaire et économe qu’un service d’autobus. Mais que pourrez-vous faire quand vous aurez permis que tous les rails aient été arrachés ? Qui pourra reconstruire ce qui aura été détruit ? » Lire la suite…
