Il est dix-huit heures à Neurastène-les-Bains. Cela ne fait pas plus de dix minutes que Émile-Louis, un apprenti boucher, attend de traverser au passage piéton de l’avenue Charles Pasqua. Il a, comme d’habitude, prévu quelques grilles de mots croisés niveau expert en plus d’un thermos rempli de café. Lire la suite…