Soutien fiscal et symbolique à l’abandon de la voiture, un gain individuel et collectif

La mobilité privée motorisée (voiture, deux roues) est toujours le principal mode de déplacement en Suisse (100 milliards de kilomètre-personnes sur 130 milliards parcourus annuellement). Les politiques proposées à ce jour ont un impact marginal sur les pratiques de mobilité: la voiture reste reine. Or, les dégâts qu’elle produit sont payés directement (nuisances diverses) et indirectement (financement du traitement des nuisances) par toutes et tous. Un changement de norme sociale de mobilité s’impose. Une approche pourrait être la fiscalité: promouvoir l’abandon de la voiture, en aidant celles et ceux qui n’en ont pas et/ou y renoncent. Lire la suite…