Selon Wikipedia, le syndrome de Stockholm « désigne un phénomène psychologique où des otages partageant longtemps la vie de leurs geôliers développeraient une sorte d’empathie, voire de sympathie, ou de contagion émotionnelle avec ces derniers selon des mécanismes complexes d’identification et de survie ». Si vous portez attention, vous décèlerez que beaucoup de cyclistes urbains, même des militants, souffrent de ce syndrome (le trafic motorisé et sa pétrocratie jouant le rôle de geôlier). Lire la suite…
