Le tram, l’expansion urbaine et la fin de la ville piétonne à travers les exemples de Boston, Philadelphie et Los Angeles aux États-Unis

D’une ville dense homogène groupée autour de son port, qui concentrait en 1850 deux-cents mille habitants dans un rayon de trois à quatre kilomètres, où les distances étaient franchissables à pied, Boston devint cinquante ans plus tard une métropole industrielle tentaculaire d’un million d’habitants dispersés dans une tache urbaine de plus de seize kilomètres de rayon, qui était désormais structurée en deux parties aux fonctions urbaines contrastées: un centre industrialo-commercial, qui concentrait aussi les services de communication, qu’entourait une immense couronne de banlieue résidentielle ponctuée de centres commerciaux et industriels secondaires. Lire la suite…

Nos collectivités face au réchauffement climatique

Depuis plus de dix ans, Vivre en Ville, association non gouvernementale du Québec, œuvre à l’amélioration de la qualité de l’environnement et des milieux de vie par la recherche d’un aménagement du territoire optimal. Grâce à de nombreux projets, outils de formation et programmes de sensibilisation, de plus en plus de spécialistes, élus ou professionnels peuvent faire progresser les pratiques en aménagement du territoire. Lire la suite…

L’étalement urbain trouve ses « climato-sceptiques »… à la Banque Mondiale

L’étalement urbain trouve ses « climato-sceptiques »… à la Banque Mondiale
Los Angeles, symbole de la ville étalée américaine : ici sans voiture point de salut pour naviguer dans une ville sans densité s’étendant sur plus de 200 km

On connaissait les climato-sceptiques, ces scientifiques qui n’hésitent pas, pour un juteux projet de recherche chez Shell, Total… ou pour un peu de visibilité médiatique, à contester l’origine anthropique du réchauffement climatique. On connaissait moins les scientifiques qui réfutent les ravages environnementaux de l’étalement urbain. Ça a un peu changé ces dernières semaines. La Banque Mondiale en a en effet offert fin janvier une tribune inespérée au Lincoln Institute of Land Policy pour qui visiblement l’avenir est aux suburbs de « quatre-façades » à perte de vue… Lire la suite…

20% du territoire belge est bâti. Stooop!

Le Cri

Il y a toujours plus de bâtiments sur le sol belge. Année après année, l’urbanisation continue de s’y développer. Nouvelles maisons, nouveaux bureaux, nouveaux shopping-centers, nouvelles usines sortent de terre. Aucune région du pays n’est épargnée. La tendance est générale. C’est le constat qui ressort clairement des statistiques publiés lundi 24 janvier sur les terrains bâtis en Belgique par le Service Public Fédéral Economie. Lire la suite…