« Le système automobile » peut être considéré « comme un monopole radical en ce qu’il ne se développe pas seulement par ses vertus propres, mais grâce à ses capacités de nuisance à l’égard des autres moyens de transport (marche qu’il rend moins agréable, vélo devenu moins plaisant et plus dangereux, transports publics de surface pris dans les embouteillages, etc.) »
Jean-Pierre Orfeuil p. 147 in « VILLE ET ENVIRONNEMENT », éditions SEDES 2006