J’ai vérifié sur le site des Echos. Le cours du blé, notre principal carburant musculaire, ne s’envole pas (en bleu sur le graphique). Contrairement à celui du pétrole (en rose). On peut donc continuer à pédaler sans réserves.
Le cours de l’épeautre est très clairement lié à celui du blé (mais un peu au-dessus dans la gamme de prix).
« L’avoine » et « le blé » : des synonymes argotiques de l’argent, qui ne doivent pas nous faire oublier que lorsque l’ère industrielle (transformation des matières premières pour créer de la valeur ajoutée) sera bel et bien terminée, alors les céréales coûteront les yeux de la tête et redeviendront une préoccupation majeure des hommes.
« Donne-nous aujourd’hui notre pain de ce jour », dit un vieux « poème » d’imploration divine.
Vélorutionnaire Caennais
Sauf que le blé est aussi sous l’influence du pétrole. Une hausse du pétrole, c’est une hausse de toutes les matières premières alimentaire.
Le cout et l’utilisation du pétrole dans la production alimentaire est relativement élevé… un peu moins en bio.
Espérons que le prix du pétrole augmente toujours, ce qui augmentera le prix des aliments issues de l’agriculture productivisme avec un zeste de fin des subventions à cette agriculture et enfin les produits bio seront nettement moins chère que les produits productivistes.
Et oubliez la viande, elle sera bientôt réservé, par son prix, à la classe bourgeoise.
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Aujourd'hui le 17-09-2024 Carfree France contient 5,330 articles et 33,327 commentaires
Et le chocolat dans tout ça ?
Merci pour les graphiques, perso je suis plus à l’avoine, mais je suppose que ça doit suivre plus ou moins le cours du blé
Je pense que le chocolat est aussi en pleine montée…
Si le blé vient de Chicago, son prix risque d’augmenter avec celui du pétrole !!!
Consommez local.
Je suppose que, vu les volumes, l’épeautre n a pas de cours officiel ?
Si oui, pour me déplacer, j’utilise -en partie- à un carburant inconnu des traders et des bourses, Youpi !
(seule info epeautre référencé sur Les echos :
http://archives.lesechos.fr/archives/2010/LesEchos/20751-83-ECH.htm?texte=cours%20epeautre
)
Le cours de l’épeautre est très clairement lié à celui du blé (mais un peu au-dessus dans la gamme de prix).
« L’avoine » et « le blé » : des synonymes argotiques de l’argent, qui ne doivent pas nous faire oublier que lorsque l’ère industrielle (transformation des matières premières pour créer de la valeur ajoutée) sera bel et bien terminée, alors les céréales coûteront les yeux de la tête et redeviendront une préoccupation majeure des hommes.
« Donne-nous aujourd’hui notre pain de ce jour », dit un vieux « poème » d’imploration divine.
Sauf que le blé est aussi sous l’influence du pétrole. Une hausse du pétrole, c’est une hausse de toutes les matières premières alimentaire.
Le cout et l’utilisation du pétrole dans la production alimentaire est relativement élevé… un peu moins en bio.
Espérons que le prix du pétrole augmente toujours, ce qui augmentera le prix des aliments issues de l’agriculture productivisme avec un zeste de fin des subventions à cette agriculture et enfin les produits bio seront nettement moins chère que les produits productivistes.
Et oubliez la viande, elle sera bientôt réservé, par son prix, à la classe bourgeoise.