Formes et structures… Pour moi ce n’est pas seulement une question d’esthétique, c’est une question de culture, et même, osons le dire, de (ou d’absence de) spiritualité. Face à la crise sociale, énergétique et climatique, on peut, en restant sur le modèle actuel, essayer de réduire l’impact. C’est louable, mais est-ce à la hauteur de l’enjeu? Ou bien on peut imaginer des mutations. Des tours de plus d’un kilomètre de haut par exemple pour loger les populations urbaines… Moi je préfèrerais garder les pieds sur terre, au sens propre évidemment!
Dans cette structure, chaque « fenêtre » ouvrant sur l’extérieur correspond à un appartement en duplex de plus de 150 m² en moyenne, avec cave donnant sur l’extérieur, et pièces aveugles en arrière.
A l’intérieur de ce tertre, s’étagent de bas en haut stockage des marchandises et traitement des déchets, zones de production, zones commerciales et gares, zones d’activités culturelles et sportives, éducation, soins de santé, administration, lieux de culte. Chaque « plateau » interne d’activités est ouvert en plusieurs points sur l’extérieur.
La circulation se fait par tapis roulants et ascenseurs.
Je vous laisse imaginer les avantages en matière d’isolation, de réseaux de transport, d’énergie et d’assainissement, de gain en terres agricoles et biotopes, et aussi, d’un autre côté, d’organisation sociale…
Par B.C.