Macron, Kolher : révélations sur le scandale des autoroutes

Augmentations des péages illégales, deal secret, rapports cachés, lanceur d’alerte… Le média en ligne Blast revient sur le fiasco de la privatisation des autoroutes publiques. De 2005 à aujourd’hui les gouvernements successifs n’ont eu de cesse d’offrir des milliards aux sociétés d’autoroutes au mépris des usagers. Une déroute avec comme acteur principal, un certain Emmanuel Macron alors ministre de l’Économie et son lieutenant de toujours, Alexis Kohler. Pourtant, les institutions de contrôle n’ont eu de cesse d’alerter sur ces dizaines de milliards qui échappent à l’Etat. Révélations dans cette vidéo de 26 minutes.

2 commentaires sur “Macron, Kolher : révélations sur le scandale des autoroutes

  1. pedibus

    putingue congue… !

    on va siphonner le quart des adhérents de 40 millions de pétainistes automobilistes après un article pareil !

    va falloir assurer la modération après ça…

     

    bon, sinon sérieux, si Kronkrounette II dissout le marigot du palais Bourbier a-t-on songé chez les Carfristes à présenter dare-dare une liste alternative anti-bagnolard-e-s… ? le moment où jamais, non… ?

    après quoi Carfree changera de braquet, c’est évident : une p’tite expérience collective qui ne peut être que diablement intéressante… foi de pedibus ça me botterait (!) une aventure pareille…

  2. mat b

    Il m’arrive de prendre la route, et donc l’autoroute, et il me vient en tête cette publicité pour l’abonnement qui vante le badge qui permet de traverser la barrière de péage plus rapidement et ainsi de dépasser ceux qui ne l’ont pas.

    Et bien sûr, comme je n’ai pas cet abonnement, j’ai l’idée d’une éventuelle publicité qui se moquerait bien de celui qui va plus vite vers le tube qui va lui rentrer dans les fesses car, s’il est utile de le rappeler, même si l’escroquerie est énorme, qu’elle a sûrement agi sur le paysage politique français de manière extrêmement néfaste, il suffit à chaque française et français de ne pas prendre sa voiture ou, en cas de force majeure, ne pas prendre l’autoroute pour la mettre à l’envers à ces compagnies privées.

     

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