On ne peut pas revendiquer à corps et à cris moins de place pour la voiture et ne pas tenter de faire un parallèle avec la mévente des voitures françaises. A force de contraindre l’automobiliste, c’est peut-être la crise économique qui va donner le coup de grâce à la suprématie de la bagnole.
Mais quand on défend un choix de vie, un choix pour se transporter, il faut aussi avoir le courage de ses convictions.
Après avoir dit « oui, la voiture pollue », « oui, la voiture occupe trop de place en ville », il faut accepter les conséquences d’un recul de ce mode de transport.
Après avoir tant idéalisé la bagnole dans la pub, dans nos rapports à l’argent, au luxe, à la qualité de vie, et joué sur l’émotionnel de nos inconscients, force est de reconnaître que des pans entiers de notre société découvrent effarés que l’automobile est aussi un vecteur économique difficile à contourner dès lors que le marasme s’installe.
Encore une épine dans le pied des vieilles démocraties européennes qui n’ont pas encore toutes venues arriver le mauvais coup de la déconfiture des constructeurs.
Certes, la vérité n’est pas facile à dire: dans vingt ans, on n’aura vraisemblablement plus qu’un constructeur » de référence » en Europe pour satisfaire le marché intérieur d’une industrie devenue mondialisée.
La firme Volkswagen (la voiture du peuple) est bien placée pour occuper cette place de la gamme moyenne des automobilistes « moyens ».
Mais un retournement de tendance est toujours possible.
L’autre grand défi de nos gouvernements va être celui de la reconversion des travailleurs de l’automobile.
Le virage ne sera pas facile à prendre et quelques dérapages sont à craindre. On en voit déjà les prémisses avec Peugeot et Renault qui l’un et l’autre sont à la peine.
Trop longtemps, les fabricants se sont laissés bercés par le pétrole abondant et peu cher, sans trop se préoccuper de l’après pétrole.
Aujourd’hui, on découvre notre retard en matière de transports alternatifs : l’électrique peine à relever le défi et le choix du transport individuel n’est pas facile à remettre en question.
Jusqu’où est-on capable de détruire la planète?
Après l’indomptable effet de serre, va t-on à présent commettre un fric-frac avec la fracturation hydraulique de nos sous-sols?
Notre socialisme pataud montre ses limites dès lors qu’il faut inculquer à la population des réflexes collectifs pour se déplacer.
Hélas, il n’y a pas que les constructeurs à se laisser berner par le pétrole peu cher et abondant. Une grande partie de la population aimerait aussi retrouver l’âge d’or des trente glorieuses et les politiques ont des discours qui vont dans ce sens avec la notion de « sacrifice » : « serrons nous la ceinture maintenant pour remettre nos économies à flots et demain, nous consommerons comme jadis et comme nous pensons à la planète nous consommerons des produits verts ».
Notre croissance de jadis s’est faite sur le dos des pays sous développés et ces derniers n’entendent pas se faire gruger comme jadis. Fini l’export exclusif de matières premières destinées à être transformées dans les usines occidentales – ces pays vendent aujourd’hui des produits finis (sauf l’Afrique).
Arrêtons de nous raconter des histoires : il n’y aura plus d’âge d’or de la croissance, ni d’âge d’or de l’automobile. Les standards de vie à l’échelle de la planète vont converger – nous allons être décroissants jusqu’à ce que les économies émergentes croissent à notre niveau.
Le système actuel est très efficace – ceux qui sont concrètement devenus décroissants soit du fait de l’augmentation des prix ou du chomage continuent de croire aux lendemains qui chantent – la publicité et la mode sont encore là pour jeter de la poudre aux yeux d’une population dont les frustrations grandiront.
Ah mais oui, l’année 2012 aura été plutôt bénéfique pour la Française des Jeux (+6,1% de progression). http://www.lefigaro.fr/societes/2013/01/03/20005-20130103ARTFIG00280-jackpot-pour-la-francaise-des-jeux-en-2012.php
La population veut encore rêver et porte au pouvoir, non des gens responsables et lucides, mais des hommes capables de lui offrir l’illusion de retrouver le paradis perdu de la croissance. Quant au chômage, c’est le prix à payer de nos illusions – un tribut !
Bien évidemment, la croissance n’est pas une religion – c’est seulement de l’économie… nous dit-on…
L’industrie automobile ne survit plus que par des campagnes publicitaires colossalement onéreuses alors que notre idéologie d’hostilité à ce mode de déplacement écologiquement indécent ne bénéficie d’aucun budget comparable.
Il serait intéressant de connaître le montant des campagnes publicitaires de Renault et Peugeot et d’envisager une campagne altermobile alternative du genre « En début de cette année 2013: je prends une bonne résolution: je renonce à la voiture »
Ce matraquage publicitaire permet de maintenir dans la conscience collective le caractère « normal » de la voiture un peu comme on a un président « normal ».
Pas de campagnes publicitaires pour les vélos et quand il y a un salon comme à Bruxelles trop peu de marques vélos …même pas de Brompton qui est l’idéale au niveau poids et encombrement pour emprunté les transports en commun
Et aussi les communes et les villes devraient mettre a l’entrée des parkings de dissuasion et les villes sans voitures sans voitures tout est bien plus paisible . Il y a des stations de skis sans voiture et tout le monde sans arrange…
Plusieurs choses :
il y a la situation en france, en europe et dans le monde… en particulier en chine (1er marché mondial),
puis la situation de l’emplois auto dans l’UE :
http://www.lemonde.fr/asie-pacifique/article/2013/01/18/la-croissance-chinoise-au-plus-bas-depuis-13-ans_1818873_3216.html
« L’économie chinoise a connu l’an dernier sa plus faible croissance en 13 ans avec 7,8 % malgré un rebond au dernier trimestre. La hausse du produit intérieur brut (PIB) de la deuxième économie mondiale était encore de 10,4 % en 2010 et de 9,3 % en 2011. Elle avait ralenti durant sept trimestres consécutifs pour tomber à 7,4 % l’été dernier, avant de se redresser pour atteindre 7,9 % pour la période octobre-décembre, indique le gouvernement chinois vendredi. »
La chine, qui avait des taux de croissance à 2 chiffres, est passées sous les 10% en 2011, et sous les 9% en 2012
quant à son marché auto :
http://www.capital.fr/bourse/actualites/citroen-voit-le-marche-auto-chinois-croitre-de-7-en-2012-714631
+53% de ventes en 2009
+33% en 2010
+5% en 2011
même lien :
« La Chine sera cependant loin devant l’Europe où une baisse de 5% est attendue (NDJ-M : en 2012), et de la France où le recul pourrait atteindre 10%. »
Mais çà, c est la situation des achats de neuf… ce qui est important pour les vendeurs,
mais pas forcément pour l’économie du pays.
Je cite l article de Vélomaxou :
« L’autre grand défi de nos gouvernements va être celui de la reconversion des travailleurs de l’automobile. »
?
?
?
La construction automobile, sous-traitants et pièces de rechanges compris, c est moins de 2% des emplois, en france = c est peanuts.
L agriculture (sans compter le complexe agro-industriel), c est plus d emplois.
Prenons les 5 premières économies européennes :
l allemagne, la france et l italie ont des constructeurs nationaux,
mais ni l espagne (seat appartient à VW) ni la GB (rover, land rover, royce rolls, jaguar, vauxhall,.. ne sont pas ou ne sont plus anglais) n’ont plus de constructeur national.
Pourtant, entre l’italie et la france d’un coté, et l angleterre de l autre, on ne remarque pas une situation effroyablement pire en angleterre…
Surtout qu’il n’y a pas de rapport direct (au contraire) entre les emplois créés, et la présence d’un constructeur national :
peugeot et renault passent leurs temps à ouvrir des usines ailleurs (pologne, roumanie, turquie, espagne, maroc, chine, brésil, inde,…) et à fermer des sites en france.
alors que ford, vauxhall (GM), honda et les autres japonais, BMW (avec land rover et royce rolls) maintiennent -proportionnellement- plus d emplois en GB,
Et renault vient d ouvrir une toute nouvelle usine au nord de Madrid.
En france, l’un des rare site auto à embaucher est le site de… smart (un construteur NON national).
Ainsi, les futurs emplois ne sont pas liés à la nationalité d’une entreprise, et même l argent gagné par le pays… car les entreprises s arranguent pour ne pas payer dans les pays « normaux » (france, angleterre), pour payer dans des pays à fiscalité réduire (irlande, luxembourg,…);
et qu’au contraire, elles bénéficient de multiples aides de leurs pays d origine (construction de rocade/route pour l usine, terrain offet/à bas prix, absence de certaines taxes pendant des années, aides sur certains type de contrats d embauches,..,ainsi que de nombreuses aides à la recherche (sic) ou aides directes), si bien qu’elles rapportent peu à leur pays.
[Je ne connais pas le cas de peugeot/renault dans le détail, mais, pour Total, l’absence d’impôt payé à la france a fait parlé de lui.
0€ d impôt sur les sociétés par Total en France en 2009 (mais celà a continué depuis.. faut juste prendre le temps de lire les différents liens)]
Ainsi, (depuis 30 ans), il ne s’agit plus d’un secteur d avenir, de moins en moins d’un secteur important en nombre d emplois, et encore moins important au niveau des bénéfices pour l’État dans lequel il se trouve;
donc je ne vois pas trop pourquoi l état mettrait à mal l’économie de tous le pays, de tous les secteurs, en les taxant plus, pour prendre à tous les secteurs rentables pour essayer, en pure perte, de « sauver » l automobile nationale.
Au contraire, c est un secteur qui crée de la dépendance au pétrole (ou à l’uranium, c.f. la guerre areva-vinci contre niger-mali actuelle), donc qui, sur le long terme, par les importations de carburants qu’il induit, créée/aggrave le déficit de la france, et diminue sa compétitivité.
c.f.
http://lexpansion.lexpress.fr/economie/ce-qu-il-faut-savoir-sur-le-deficit-commercial-record-de-la-france_281887.html
La France a enregistré en 2011 un déficit commercial de près de 70 milliards d’euros, un record [..]
La faute à la facture pétrolière?
En grande partie, oui. Soutenue par la remontée des cours du pétrole – les cours du baril de brent ont augmenté en moyenne de 39% en 2011-, les importations de produits énergétiques ont progressé de 30% en valeur pour s’établir à 87,2 milliards d’euros, tandis que les exportations ont atteint 24,8 milliards.
La facture énergétique s’est donc fortement alourdie pour atteindre 62,4 milliards d’euros, soit 14,4 milliards de plus qu’en 2010.
A elle seule, la facture énergétique représente 90% du déficit commercial français. Néanmoins, elle n’est responsable que des trois quarts de la dégradation du solde commercial.«
Et, sur ces 90% de déficit couvert par le déficit de la facture énergétique, 90% (de mémoire… c est entre 75 et 99 en fait, mais je n ai pas le chiffre sous la main ^^) viennent du pétrole.
autoquote « et sous les 9% en 2012 »
il faut lire : « et sous les 8% en 2012 », comme 7.9 est inférieur à 8.
(même si, « sous les 9 » est exact ^^)
—
La reconversion des travailleurs du secteur auto ne posserait pas de pb,
SI l état et les entreprises, aidées en celà par la fiscalité et les lois, investissaient dans des secteurs d avenir.
Par ex. le maraichage bio (non délocalisable) et l agriculture bio, ou la constrution de toits végétalisés (non délocalisable), ou les usines à biogaz (à partir des déchets végétaux locaux => non délocalisable), ou… :
au moment où les chefs de la FNSEA se plaignent du début de l application de la loi sur les nitrates (une loi de 1993 : http://fr.wikipedia.org/wiki/Directive_Nitrates ),
alors qu’ils sont les responsables de cette pollution,
et que la france ne répond pas -totalement- à sa demande en produits bio, et qu’au contraire, la france, championne européenne en consommation de pesticides, vient encore de battre son propre record…
[en aggravant sa facture : les pesticides consommés, sont essentiellement produits par des firmes US (monsanto), allemandes, et suisses]
il serait bien que Hollande reviennent sur une réforme de Sarko :
sarko avait divisé par 2 les aides à la reconversion en bio; et, pour l’instant, hollande ne les a pas remises à leur niveau antérieur (sans même parler de les augmenter… car avant sarko, la france avait deja du retard dans la production bio… un mode de production qui créé bcp d’emplois, rapporté à son chiffre d affaire).
SI hollande aide les secteurs qui embauchent (par ex, la livraison en vélo, et les taxi-vélo), alors, les futurs-ex-employés de psa-renault auront moins de pb pour (espérer) retrouver un emploi; et donc, la fermeture prévisible de leur site leur posera moins de pb, que dans la situation où aucune opportunité ne semble s’ouvrir à eux.
@jean marc
Je ne comprends pas vraiment votre proposition de reconvertir les travailleurs du secteur auto dans l’agriculture, la construction ou la filière énergétique, ou alors vous parlez sur le long terme?
Ensuite il n’y a malheureusement plus d’activités non délocalisables, certes les chantiers sont en France, mais les travailleurs sont pour la plupart des intérimaires étrangers payés au lance pierre et sans protection sociale. Il faudrait commencer par changer d’Europe…
Intéressant tous ces chiffres, encore une fois on se rend compte que le pétrole dirige totalement le monde…
Et oui la dépendance à la bagnole pèse lourd sur notre déficit commercial… Suffit de voir tout le diesel que l’on importe des pays étrangers…
Quant à la reconversion des travailleurs, elle est envisageable si l’État fait preuve de courage, et surtout si les mentalités évoluent dans notre pays (ex: manger local, consommer bio, se déplacer dès que possible à vélo etc.) cela créerait de nouvelles pistes pour l’emploi…
Oui et non : pas -obligatoirement- directement :
il est dur de se retrouver au chômage dans un pays qui débauche.
A l’opposé, outre que la reconvertion, en partie grâce à la formation permanente/pour adulte existe,
Si le pays embauche (pas forcément dans ton secteur), d autres trouvent des emplois… qui créent des emplois induits :
s’il y a 300 employés de plus dans une petite ville, celà peut créer 2 emplois de boulangers + un de pharmacien + un de bistroquier + un de plombier + 1 d electricien + 3 de garde d enfants +…)
-> créer des emplois dans certains secteurs porteurs, celà entraine la création d’autres emplois, donc après, les chômeurs actuels et futur-chômeurs de l industrie auto pourront, pour certains, trouver un emplois directement dans ces secteurs porteurs, ou indirectement dans les secteurs induits.
Mais même sans celà,
leur conjoint(e) et leurs enfants, ayant une formation sans doute différente de la leur, pourront eux aussi bénéficier d’un emploi dans un autre secteur.
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Il y a qq années, un étude éco avait montrée, qu’en france, qu’un emploi indus dans un secteur de la grosse industrie du passé (mais je ne sais plus laquelle… la sidérurgie ou l automobile) coûtait en moyenne, du fait des multiples aides, à la france plus de 5 000€ par employé par mois :
En fait, les payer à rester chez eux devant la télé coûterait bcp bcp moins cher à la france que de soutenir cette grosse industrie du passé…
(cette étude doit pouvoir se retrouver sur carfree)
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En fait, il existe des emplois destructeurs d emplois :
Les domaines à marge très largement supérieurs aux autres secteurs d activités, qui phagocytent l activité et les investissements :
c est le pb du pétrole, avec des puissances pétrolieres croulant sous l argent, mais sans emplois de masse :
Comme aucun autre secteur n a la rentabilité du pétrole, le secteur pétrolier attire une forte proportion de personnes instruitent (souvent étrangères) qui auraient, sinon, choisi un autre secteur d activité, et, d année en année, les salaires des autres secteurs apparaissent de plus en plus minables, car ils ne peuvent suivrent la croissance du secteur « maitre ».
Or le cours de la vie augmente, du fait de la demande solvable des personnes du secteur-maitre, si bien que le pouvoir d achat de tous les autres va en diminuant.
(si bien qu’à coté du secteur « maitre », il ne reste plus que des « danseuses » :
des compagnies de BTP, ou agricole, ou de tourisme, ou de commerce, ou de transport aérien, ou… payées par l argent du pétrole, par un propriétaire d’une (fraction de) concession pétrolière, mais souvent sans rentabilité propre).
Ce pb est par exemple en train de s’aggrandir au canada, avec des salaires de plus de 20 k dans les chismes butimineux… qu’on ne retrouve pas dans les autres secteurs de l’économie canadienne.
On trouve aussi ce même pb, dans de moindres proportions, avec la City.
[c etait aussi le cas du complexe militaro-industriel et spatial sous l’ex-URSS; ou des sportifs de niveau international sous l albanie :
un secteur qui étrangle tous les autres, soit par sa rentabilité (pétrole), soit par ses subventions (complexe militaro-industriel et spatial/sportifs internationaux)].
Je rebondis sur le commentaire de L’Écolomobile, qui aborde le sujet de la publicité. Je suis totalement d’accord avec le constat que la pub gangrène la société et notamment pousse à la sur-consommation (de bagnoles !).
Il existe des associations anti-publicitaires qui tentent de lutter contre ce fléau : n’hésitez pas à les rejoindre, afin que leurs actions puissent prendre de l’ampleur et, peut-être, réussir enfin à faire tomber la pub… Étape obligatoire, à mon avis, avant de réussir à faire passer les messages de Carfree !
Gari, membre de Résistance à l’Agression Publicitaire (http://antipub.org)
Je crois qu’avec le niveau d’automisation et le rendement des entreprises, si on relocalise les activités et que dans le même temps on entre dans une démarche décroissante, cela passe aussi par un bouleversement de la notion de travail.
Les 60 dernières années le fameux aménagement du territoire a été bagnolo-orienté, mais le maillage de notre terroitoire fait que le retour vers les petites villes et la campagne est possible.
> Mais un retournement de tendance est toujours possible.
Oui, notamment grâce au progrès technique. Peut-être trouvera-t-on dans les vingt ans qui viennent une alternative viable au pétrole, au moins pour les transports.
> L’autre grand défi de nos gouvernements va être celui de la reconversion des travailleurs de l’automobile.
La fin du pétrole/gaz si on ne trouve pas une alternative, c’est beaucoup plus qu’un problème de reconversion des travailleurs de l’automobile : c’est le retour deux siècles en arrière. Toute notre économie, tout notre urbanisme reposent sur une énergie abondante et peu chère. Il suffit d’imaginer les conséquences si les gens ne disposent plus de véhicules individuels pour aller bosser, faire leurs achats, etc.
La fin du pétrole/gaz si on ne trouve pas une alternative, c’est beaucoup plus qu’un problème de reconversion des travailleurs de l’automobile : c’est le retour deux siècles en arrière. Toute notre économie, tout notre urbanisme reposent sur une énergie abondante et peu chère. Il suffit d’imaginer les conséquences si les gens ne disposent plus de véhicules individuels pour aller bosser, faire leurs achats, etc.
Mais alors, sacrebleu ! Pourquoi donc les gens n’ont pas encore commencé à anticiper pour assurer une transition en douceur ?????
En voilà une bonne question !
Eh bien la réponse était juste au-dessus :
Peut-être trouvera-t-on dans les vingt ans qui viennent une alternative viable au pétrole, au moins pour les transports.
Voilà. Il suffit d’y croire…
vincent « Oui, notamment grâce au progrès technique. Peut-être trouvera-t-on dans les vingt ans qui viennent une alternative viable au pétrole, au moins pour les transports. »
PROGRES TECHNIQUE est Amour, PROGRES TECHNIQUE est Bonheur ! Tu croieras en PROGRES TECHNIQUE ou bien tu iras croupir en enfer.
Amen.