« En cette période de crise où tout ce qui pourrait freiner le développement économique est jugé nuisible, le protecteur de l’environnement avec sa vision à plus long terme, est redevenu un ennemi du « progrès ». Il est même l’objet d’attaques en règle. » Lire la suite…
Le négationnisme climatique
Chaque mois paraît dans le monde un ouvrage niant soit le réchauffement, soit ses causes humaines, soit sa gravité. On explique même que ce réchauffement serait une chance pour l’humanité en permettant d’accéder à des ressources jusque-là inexploitées (pétrole en Alaska, agriculture en Sibérie, nouvelles routes maritimes dans le Grand Nord, etc.). Chaque jour des dizaines d’articles expliquent aussi que la science aura de toute façon une réponse au problème du réchauffement planétaire. Il serait donc stupide de s’inquiéter, même si le réchauffement était avéré. Ces deux discours sont non seulement faux mais dangereux. Ils empêchent de prendre conscience des enjeux. Ils interdisent d’agir. Lire la suite…
L’étalement urbain trouve ses « climato-sceptiques »… à la Banque Mondiale
Los Angeles, symbole de la ville étalée américaine : ici sans voiture point de salut pour naviguer dans une ville sans densité s’étendant sur plus de 200 km
On connaissait les climato-sceptiques, ces scientifiques qui n’hésitent pas, pour un juteux projet de recherche chez Shell, Total… ou pour un peu de visibilité médiatique, à contester l’origine anthropique du réchauffement climatique. On connaissait moins les scientifiques qui réfutent les ravages environnementaux de l’étalement urbain. Ça a un peu changé ces dernières semaines. La Banque Mondiale en a en effet offert fin janvier une tribune inespérée au Lincoln Institute of Land Policy pour qui visiblement l’avenir est aux suburbs de « quatre-façades » à perte de vue… Lire la suite…
Courtillot et le climato-scepticisme sur France 2: Les blagues les plus courtes…
C’est un vrai coup de gueule que je voulais pousser aujourd’hui, un coup de gueule contre les médias, mais aussi contre les mensonges hallucinants et volontaires de ceux dont ils colportent la tartuferie sans jamais faire ce pour quoi ils seraient censé travailler : un vrai travail d’information. Lire la suite…
Les thèses d’Allègre, enterrées par l’Académie des Sciences
Le Réseau Action Climat – France accueille avec soulagement et confiance la récente mise au point de l’Académie des Sciences qui a démenti, à l’unanimité (Claude Allègre compris), les thèses sceptiques de Claude Allègre et consorts, et réaffirmé les conclusions du GIEC sur l’état des connaissances actuelles en matière de sciences du climat.
Consulter le rapport de l’Académie des Sciences « Le changement climatique » remis à Valérie Pécresse, Ministre de l’Enseignement supérieur et de la recherche réalisé à la demande de cette dernière suite aux remises en causes de la science du climat.
Source: Réseau Action-Climat France
La responsabilité des professeurs d’histoire devant le présent et l’avenir
La communauté historienne – c’est la qualification que ses membres se sont donnés eux-mêmes – entretient une obsession pour le concept de mutation. Mais cette communauté ne voit pas, ne veut pas voir la mutation des mutations: celle de la modernité, de l’ère industrielle, de l’avènement du nihilisme. Elle nie cette mutation qui a fait que l’Être n’est plus une évidence, et qui, du coup, nécessiterait de penser, plutôt que de faire du constat historique glacial — constat qui est tout sauf de la pensée, malgré son déguisement. Lire la suite…
Les climato-cyniques
Les médias donnent largement la parole à quelques incompétents notoires en climatologie, parmi lesquels en France l’ex-présentateur météo Laurent Cabrol et l’ex-ministre de l’éducation nationale Claude Allègre, pour répandre un « climato-scepticisme » de bon aloi sur le thème du complot mondial des scientifiques pour culpabiliser l’automobiliste occidental moyen. Mais de quoi parle-t-on exactement? Lire la suite…
Le climato-scepticisme est un négationnisme
Aujourd’hui, malgré les preuves accumulées concernant le réchauffement climatique et la multitude d’études convergentes sur l’origine humaine de ce réchauffement, on parle de plus en plus de « climato-scepticisme » et on donne de plus en plus la parole aux « climato-sceptiques » dans les médias. Lire la suite…