« Je trouve Paris moins intéressant. La bagnole a tout envahi. On peut photographier des voitures, bien sûr, mais elles posent un problème de composition. Quand vous avez deux files ininterrompues de véhicules garés des deux côtés de la rue, vous n’avez pas de lignes nettes, de perspectives simples. Ce n’est pas beau. »
Willy Ronis, interview parue dans Le Journal du Dimanche, 18 oct. 1998.