
Il y a les discours, les innombrables discoureurs. Je ne parle pas, exceptionnellement, des habituels salauds qui défendent ce monde et seront enterrés avec lui. Non. Je songe à tous ceux qui, de plus ou moins bonne foi, défendent le mythe du « développement durable ». C’est-à-dire, pour simplifier, tous ces Bisounours du funeste Grenelle de l’Environnement. Tous ceux qui prient pour que tout change, pourvu que rien ne bouge réellement. La nouvelle qui suit est dédiée aux naïfs, aux gogos, mais aussi aux duplices, aux Janus, à tous ceux qui entraînent des milliers d’autres dans l’ambivalence, et finalement l’impuissance. Lire la suite…









