Guide pratique pour réaliser des cartes de temps de parcours à pied et/ou à vélo

La Direction Générale de la Santé (DGS) du Ministère du Travail, de l’Emploi et de la Santé et l’Institut national de prévention et de l’éducation pour la santé (Inpes) ont publié un Guide pratique pour la réalisation de cartes de temps de parcours à pied et/ou à vélo. Lire la suite…

Comment atteindre un taux de mortalité de zéro pour les piétons et les cyclistes

En 2015, la ville d’Oslo, en Norvège, s’est engagée, après des années de hausse des accidents de la route, à réduire la circulation automobile et à donner la priorité à la sécurité des piétons, des cyclistes et de l’environnement. Contrairement aux États-Unis et à d’autres pays où les décès dus aux transports sont souvent considérés comme inévitables, le gouvernement norvégien s’est fermement engagé à éliminer les décès et les blessures graves sur ses routes à l’échelle nationale et a travaillé à la réalisation de cette vision pendant près de deux décennies. Lire la suite…

Rendre la ville aux piétons

Le premier mode de déplacement en ville, c’est la marche. Il est gratuit, écologique, ouvert à tous: enfants et personnes âgées, parents avec poussettes ou personnes handicapées, riches et pauvres, etc. Evidemment, il ne pollue pas. Lire la suite…

Marcher

Inspiré par Ralph Waldo Emerson et son Nature, Henry David Thoreau (1817-1862) quitte à vingt-huit ans sa ville natale pour aller vivre seul dans une forêt, près du lac Walden. Installé dans une cabane de 1845 à 1847, il ne marche pas moins de quatre heures par jour. Pour l’auteur de La Désobéissance civile et Walden ou la Vie dans les bois, farouchement épris de liberté, c’est bien dans la vie sauvage – sans contrainte – que réside la philosophie. Par cet éloge de la marche, exercice salutaire et libérateur, Thoreau fait l’apologie de la valeur suprême de l’individu. Conférence donnée en 1851, De la Marche constitue un bréviaire indispensable de l’éveil à soi par la communion avec la nature. Lire la suite…

Mobilité : active, douce, alternative ou durable

Lorsque la marche fait l’objet d’une désignation d’un plus grand ordre de généralité, d’une désignation incluant donc d’autres formes de mobilité dont on veut la rapprocher, elle est qualifiée de mobilité active, douce, alternative ou durable. Ces qualificatifs, si leurs sens sont voisins, ne sont pour autant nullement interchangeables, ce parce qu’ils renvoient à des visées différentes. Lire la suite…

Rien ne vaut la liberté

Étant donné que cette époque ne nous fournit pas suffisamment de sujets d’inquiétude, je me propose d’en ajouter un à votre liste. Son nom est étrange. Il ne reçoit pas grande attention de la part du monde de la santé et de la médecine. Mais il est profondément important, peut-être plus que le régime alimentaire et l’exercice. Il s’agit du problème de la suppression de notre vagilité, qui désigne la capacité d’un organisme de se déplacer librement dans un habitat. Une nouvelle discipline en expansion, appelée l’écologie du mouvement, étudie les déplacements de la faune sauvage et la manière dont ils sont limités par les autoroutes, les barrières et les infrastructures de développement. Une récente discussion de ce sujet a même été publiée dans le New York Times, sous le titre Animals Are Losing Their Vagility, or Ability to Roam Freely (Les animaux perdent leur vagilité, ou capacité à se déplacer librement). Lire la suite…

Cet été, c’est à pied ou à vélo et doucement, pour emprunter la grandeur du temps

En ce début du mois de juin, le temps passe à la musarde. Le souffle de l’air est enfin chaud en milieu de journée. Nous entrons dans les jours à coucher dehors. Le même rythme de marche, la même vitesse à vélo qu’il y a deux mois à peine, fait désormais perler l’eau sur les tempes. Le corps prévient en sudation les esprits distraits qui n’auraient pas admiré les frondaisons foisonnantes. Le corps alerte les cerveaux habitués au fouet des frimas: ralentissez, l’été rapplique. Lire la suite…

Nos inventions sont de jolis jouets

Walden ou la Vie dans les bois (titre original Walden; or, Life in the Woods) est un récit publié en 1854 par l’écrivain américain Henry David Thoreau (1817-1862). Le livre raconte la vie que Thoreau a passée dans une cabane pendant deux ans, deux mois et deux jours, dans la forêt appartenant à son ami et mentor Ralph Waldo Emerson, jouxtant l’étang de Walden (Walden Pond), non loin de ses amis et de sa famille qui résidaient à Concord, dans le Massachusetts. Lire la suite…