« Attention, casse-cou », entend-on dire ! « Limiter la circulation automobile en ville, au profit du transport public, c’est provoquer la destruction de milliers d’emplois dans l’industrie automobile ». A l’heure où la lutte contre le chômage demeure aléatoire, l’argument des tenants du statu quo en matière de politique des transports peut porter. Encore faudrait-il qu’il soit valide. Ce qui n’est pas le cas. Lire la suite…
