A l’heure ou les « naufragés de la route » bénéficient de privilèges « dus » au fait qu’ils se retrouveraient, sinon, bloqués comme des cons quelques heures dans leur bagnole surchauffée au fossile pour pouvoir conserver leur statut de bons soldats bien formatés, privilèges qui ne sont surement pas offerts, bien qu’ils auraient été bien plus utile, aux SDF qui crèvent de froid dans la rue, mais à qui on ne pense pas, qu’on oublie, à qui on ôte toute humanité en leur enlevant le droit au café chaud, au croissant du matin, au dortoir ou même au magasin ouvert spécialement pour les sauver, eux qui en auraient pourtant tant besoin, je ne peux, pour ma part, m’empêcher de développer une nostalgie autre que cette sensation d’abandon de l’automobiliste pressé… Lire la suite…
