par Frédéric Héran
Banale, omniprésente, tentaculaire, l’automobile ne cesse d’interroger l’écologie. Lire la suite…
par Frédéric Héran
Banale, omniprésente, tentaculaire, l’automobile ne cesse d’interroger l’écologie. Lire la suite…
Par année, une auto brûle 1700 litres de carburant pour rien
Et c’est cela même qui est génial !
par Richard Bergeron, Ph. D.*
La Seconde Guerre mondiale a brutalement accéléré le développement technologique et fait exploser la capacité de production. Ceci sans crise de surproduction ni chômage puisque, c’est le propre de la guerre, tout ce qui sort des usines est détruit au même rythme. Mais qu’arriverait-il quand la guerre prendrait fin ? Vivrait-on une nouvelle dépression pire que celle des années 1930 ? Il fallait à tout prix l’éviter. Roosevelt soumit le problème à un groupe d’éminents universitaires, eux-mêmes conseillés par Alfred P. Sloan de General Motors. La solution qu’ils proposèrent fut la consommation de masse, dont le principe est on ne peut plus simple : en contexte de guerre, les soldats détruisent en continu tout ce qui sort des usines; avec la consommation de masse, c’est à la population du pays que cette tâche revient. Lire la suite…
Futuribles / Etude rétrospective et prospective des évolutions de la société française (1950-2030)
La civilisation de l’automobile
C’est au sortir de la Seconde Guerre mondiale que fut lancé, en France, le projet de la démocratisation de l’automobile qui avait été initié Outre Atlantique par Ford et General Motors dans les années 1920. La généralisation progressive de la «motorisation des ménages» s’est accompagnée d’un développement de l’infrastructure routière. Cette entrée dans l’ère de l’automobile a contribué à modifier profondément tant le rapport des Français à l’espace et au temps que la structure et la forme des villes. On s’interrogera sur les futurs envisageables à l’horizon de l’entrée du marché de l’automobile dans sa phase de maturité. Lire la suite…
Un article récent de Carfree France s’inquiétait de la croissance phénoménale du taux de motorisation chinois et de la consommation de pétrole en Chine, qui a fait un bond de 14% pour la seule année 2004. Comme l’avait prévu Alain Peyreffite, la Chine s’est éveillée… et pollue! Lire la suite…
Comme l’avait prédit Alain Peyreffite, la Chine s’est éveillée… et pollue! D’une société de la bicyclette, elle passe au stade de société de l’automobile. Son décollage économique actuel se traduit par une “faim d’énergie” sans précédent, alimentant les tensions mondiales sur les cours des matières premières. Lire la suite…