Les repas de famille de fin d’année approchant à grands pas, nous rediffusons la méthode à suivre pour savoir comment discuter avec un militant écologiste.
■ Règle n°1 : Ne jamais discuter avec un militant écologiste. N’engagez aucun débat, quelle que soit la valeur de son argumentaire. Fainéant, il n’a en général que cela à faire et excelle dans le bla-bla. Vous risqueriez de passer pour ridicule ou pis encore, d’être séduit par sa propagande pernicieuse et de vous remettre en cause.
■ Règle n°2 : Insultez-le immédiatement grâce à ces mots simplistes et réducteurs dont les grands médias raffolent: « khmer vert », « écolo intégriste », « ayatollah de l’écologie », « extrémiste » (de droite ou de gauche, ça pas d’importance, l’essentiel étant qu’il passe pour extrémiste, voir un terroriste. Cela plaît toujours). Vous pouvez aussi le qualifier de fasciste, ce qui marche aussi quasiment à tous les coups. Vous garderez les mots « utopiste », « idéologue », « passéiste », « réac », « communiste » pour des argumentaires plus fins dont vous userez uniquement si vous en avez les capacités. Les formules « Vous voulez retourner au temps des cavernes ! » où « Vous voulez nous faire revenir à la bougie ! » vous assureront l’immédiate adhésion du bon sens populaire. En cas de résistance, utilisez l’inusable « Mais on n’arrête pas le progrès ! (sous entendu pauvre imbécile) » qui fait un malheur dans le registre philosophie de comptoir.
■ Règle n°3 : psychologisez-le : il est malade, sous-entendu « malade mental ». Il y a forcément quelque chose « qui ne va pas dans sa tête ». S’il n’aime pas la formule 1 ou les voitures en général, « Il ne doit pas aimer la vie ». Il est « aigri », « triste »… voire pédé ou impuissant (gouine ou frigide pour une fille). Il est tout « verdâtre », « à force de manger des poireaux ». Dîtes-lui d’aller se faire soigner, de consulter un psy, de manger de la viande rouge bien saignante pour retrouver des couleurs et le goût de vivre.
Source: Auto Minus contre la suppression du Grand Prix de France de Formule 1 !
20 ans déjà, et pas une ride !
Bonjour,
Des écologistes, pas des responsables qui agissent ou parlent en pharisiens de l’écologie, des vrais écologistes, oseront vous dire où vous signaler que l’usage de l’automobile, tel que nous la connaissons aujourd’hui, sera bientôt responsable aussi de l’extinction de l’humanité, donc, nous-mêmes, humains, aussi à cause de tous ces poisons qui sortent des pots d’échappement rien que pour faire avancer ces engins.
Il se participent, ces poisons, à l’ asphyxie mondiale de l’humanité et des animaux ou plantes qui nous permettent de vivre, à la destruction de la couche d’ozone et au réchauffement climatique.
C’est surtout le cas pour le dioxyde d’azote qui, dans la haute atmosphère contribue à la destruction de la couche d’ozone et au niveau du sol l’asphyxie de l’humanité en s’attaquant aux foies respiratoires, particulièrement celles, fragiles, des enfants ou bambins.
Mais la plupart de nos responsables politiques ne semblent vouloir plaire qu’aux automobilistes qui participent à cet empoisonnement collectif ou parfois écrasent toute contestation si pas, des gens.
A votre service.
Bonjour à tous ou toutes,
Bien sûr vous aurez corrigé par vous-même, il s’agit dans mon précédent commentaire de voies respiratoires et pas foies respiratoires, bien que ces poisons pourraient participer aussi à la destruction du foie, puisque c’est là que se concentre essentiellement la plupart des toxines absorbées par le corps humain.
@Letard
ma foie j’y ai fût que du vieux, heu… j’y ai vu que du feu, mais celui-là sans dioxines, sans oxydes d’azote et autres cochoncetés…
😉