Aux origines totalitaires du Big Business automobile (2e partie)
Le passé sud-américain peu glorieux d’un grand constructeur automobile européen a refait surface en automne 2015. Des victimes de Volkswagen ont porté plainte pour « crime contre l’humanité. » L’accusation est grave en elle-même, et au moins à deux titres pour ce constructeur. Par son activité d’après-guerre, censée être purement industrielle et donc respectable dans ses fins, officiellement satisfaire des besoins et élever le niveau de vie des classes moyennes au standard européen, la firme automobile se retrouve dans un télescopage historique, soudainement replongée dans son passé nazi. Pour nous, dans notre réquisitoire, il n’y avait que confirmation de la liaison originelle entre totalitarisme et automobilisme. Continuons notre investigation factuelle… Lire la suite…