On sait que la pollution automobile est responsable de troubles respiratoires et cardiovasculaires chez l’enfant. En revanche, peu d’études ont été consacrées à ses effets neuro-dégénératifs, en particulier dans les pays en développement. Des travaux ont toutefois rendu la pollution atmosphérique responsable de troubles de l’activité cérébrale et d’altérations de la fonction olfactive chez des résidents de Mexico. Des altérations des fonctions cognitives ont également été observées. Qu’en est-il du lien entre pollution et trouble du déficit de l’attention/hyperactivité (TDA/H), l’un des troubles du comportement les plus fréquents de l’enfance? Lire la suite…
