Business as usual… derrière les convulsions du Brexit qui déchirent le Royaume-Uni, les affaires continuent d’aller de mal en pis pour l’industrie nucléaire du pays. Sous l’ombre portée de Fukushima, l’avenir de l’atome s’assombrit aussi de l’autre côté de la Manche. Pourtant, dans ce temple du néolibéralisme, les plus grands groupes du monde avaient pu bénéficier de toutes les facilités financières pour se porter au secours du parc atomique britannique en décrépitude. En plus d’EDF qui avait pris pied en 2002 dans le pays et mis la main sur British Energy, les Japonais Toshiba et Hitashi, en déshérence industrielle dans leur patrie depuis Fukushima, étaient aussi arrivés pour rebondir et donner un second souffle au savoir-faire nippon en œuvrant pour la grande cause commune de l’industrie nucléaire. Lire la suite…
