Les voitures: le plus grave problème de la planète

Conférence d’Hubert Reeves sur le transport collectif
«Les voitures: le plus grave problème de la planète»
par Benoit Lemay

«L’accroissement du transport routier est un des plus graves problèmes de la planète.» C’est le message qu’est venu livrer l’astrophysicien passionné de l’environnement, Hubert Reeves, le samedi 1er mai dernier, lors d’une conférence organisée à Saint-Eustache par Transport collectif région Deux-Montagnes (TCRDM), un organisme voué à la promotion du transport en commun. Lire la suite…

Le poids du lobby automobile

Ils ont osé le faire: Dissimuler un document relatif à la santé publique

L’Humanité – 8 mai 2004

Parfois, cela va mieux en le disant. C’est le cas des chiffres alarmants concernant la pollution atmosphérique engendrée notamment par l’automobile. Elle serait responsable de 4 876 décès par an en France, selon un rapport de l’AFSSE (Agence française de sécurité sanitaire environnementale) dont a rendu compte jeudi l’hebdomadaire le Point. Lire la suite…

La fumée des autos tue aussi

Maintenant, on en est certain: la pollution par les gaz d’échappement automobile est un danger mortel (photo AFP)

La fumée des autos tue aussi

La pollution atmosphérique urbaine a tué entre 6.000 et 10.000 personnes en 2002. Les particules fines émises notamment par les voitures en porteraient la responsabilité… Lire la suite…

La crise de l’énergie

La crise de l’énergie

Extrait de l’ouvrage « Energie et équité », d’Ivan Illich (1973)

Aujourd’hui il est devenu inévitable de parler d’une crise de l’énergie qui nous menace. Cet euphémisme cache une contradiction et consacre une illusion. Il masque la contradiction inhérente au fait de vouloir atteindre à la fois un état social fondé sur l’équité et un niveau toujours plus élevé de croissance industrielle. Il consacre l’illusion que la machine peut absolument remplacer l’homme. Pour élucider cette contradiction et démasquer cette illusion, il faut reconsidérer la réalité que dissimulent les lamentations sur la crise : en fait, l’utilisation de hauts quanta d’énergie a des effets aussi destructeurs pour la structure sociale que pour le milieu physique. Un tel emploi de l’énergie viole la société et détruit la nature. Lire la suite…