Le non-sens de l’automobile

Banlieusards, Parisiens, vous vous rendez au travail dans votre voiture particulière au lieu d’utiliser les transports en commun ou le vélo. Vous râlez contre les embouteillages que vous provoquez. Lire la suite…

Cortège sans moteur vers le Mondial de l’automobile

Samedi 2 octobre 14h Place du Châtelet
Action anti-bagnole (cyclique, rollers et piéton, ensemble contre la pollution !)
Manif à vélo samedi 2 octobre en direction du Mondial de l’automobile
Appel aux médias envahis par la publicité automobile Lire la suite…

Mondial de l’auto-destruction

Mondial de l’auto-destruction 2004, Paris Porte de Versailles 25 septembre – 10 octobre 2004

La pollution automobile tue. En France. 5000 personnes par an
La voiture est en grande partie responsable du dérèglement climatique

Les vélos en rempart anti-auto

Les vélos en rempart anti-auto

Le Journal du Dimanche, 4 Juillet 2004

IL y a encore quelques mois, les cyclistes militants n’étaient que quelques dizaines à se retrouver une fois par mois sur le pavé parisien pour contester la place dévolue à la voiture dans la capitale. Hier après-midi, ils étaient plus d’une centaine, accompagnés d’une cinquantaine de militants antipub, à pied. Lire la suite…

Manifestive contre la bagnole et la consommation

Hacktivist News Service

Manifestive contre la bagnole et la consommation

Aujourd’hui 3 juillet, à 14h00, plus de deux cents personnes se sont retrouvées place du Châtelet pour une ballade itinérante dans Paris au moyen de vélos, de rollers ou tout simplement à pied.

Le but : récupérer momentanément l’espace de la rue et s’opposer à la bagnole, le fléau environnemental des villes, mais aussi contester avec humour la frénésie des soldes et la culture de la consommation.

Mélange détonnant : écolos, cyclistes, prêtre de L’Église de la Très Sainte Consommation et ses disciples, de 5 à 70 ans…

Venez nous rejoindre tous les premiers samedis de chaque mois à 14h00 place du Châtelet.

Le prix du temps

Extrait de l’ouvrage « Energie et équité« , d’Ivan Illich (1973)

La vitesse incontrôlée est coûteuse et de moins en moins de gens peuvent se l’offrir. Tout surcroît de vitesse d’un véhicule augmente son coût de propulsion, le prix des voies de circulation nécessaires et, ce qui est plus grave, la largeur de l’espace que son mouvement dévore. Dès qu’un certain seuil de consommation d’énergie est dépassé par les voyageurs les plus rapides, il se crée à l’échelle du monde entier une structure de classe de capitalistes de la vitesse. La valeur d’échange du temps reprend la première place, comme le montre le langage : on parle du temps dépensé, économisé, investi, gaspillé, mis à profit. A chacun la société colle une étiquette de prix qui indique sa valeur horaire : plus on va vite, plus l’écart des prix se creuse. Entre l’égalité des chances et la vitesse, il y a corrélation inverse. Lire la suite…