Faut-il accomplir de longues études pour ressentir la violence que génère un automobiliste dépassant à plus de 60km/h un cycliste ou un piéton sur une voie étroite? Faut-il en déduire que tout automobiliste méprise ses congénères? Suffit-il seulement d’attendre d’une moralisation du conducteur ou d’un renforcement du “code de la route” une réduction du taux de victimes de l’automobile? Lire la suite…
