Le lobby de la bagnole est ultra-majoritaire, il exerce un monopole radical (voir Ivan Illich, Énergie et équité) sur les moyens de déplacements. Mais il lui en faut toujours plus. Les quelques hurluberlus qui, par on ne sait quelle impulsion saugrenue, persistent à bouder moteurs et carcasses métalliques doivent être ramenés à la raison. Il faut leur faire comprendre leur erreur, les faire abandonner la marche et le vélo, que ces étranges masochistes persistent à s’infliger. Lire la suite…
