Au lendemain où le milliardaire Kirk Kerkorian largue ses actions de Ford qui ont perdu les 2/3 de leur valeur (« vendre aujourd’hui ou tout perdre demain »), où General Motors est « très mal », où Renault peine, on entend, ici bas, les voix d’un soutien de l’industrie automobile, vieille poule aux œufs d’or des années 70. Ce qui est une gigantesque bêtise. Car il y a deux raisons à la baisse programmée de l’industrie automobile…
