A l’origine des bouchons en ville

Vous vous demandez pourquoi il y a des bouchons en ville ? Est-ce la faute des pistes cyclables ou des cyclistes qui grillent les feux? Pas vraiment… Voici la réponse en vidéo.

5 commentaires sur “A l’origine des bouchons en ville

  1. Céline

    L’origine des bouchons, une voiture en double file ?

    Chuuut !! Faut pas leur dire ! Il faut bien qu’ils posent leur ouature quequepart (parlons pas des places de parking, sont trop loin et faut marcher, c’est fatigant et ça prend du temps, surtout que-j’en-ai-que-pour-5 mn), alors autant que ce soit en double-file. Car si pas en double-file, ils grimperont sur….. le trottoir, et, si pas sur le trottoir, il restera la piste cyclable !

    Alors voyez, de grâce, laissez-les se garer en double file*. Au moins, ils se gênent entre con-génères.

    *Sauf si la 1ère file est déjà garée sur la piste cyclable bien sûr..

  2. vince

    Merci pour cette vidéo « hilarante ».

    Mais qu’est-ce qu’ils ont l’air c.o.n.s avec leur voiture  !

    C’est lourdingue, pesant, pas maniable au possible une voiture, à pied ou en vélo au moins tu peux toujours avancer, reculer ou faire le tour. Et il y en a encore qui aime ça.

     

    Juste une remarque : quand on grille les feux en vélo, on évite peut-être de critiquer les autres usagers de la route, même en voiture.

  3. Jean-Marc

    Vince : « Juste une remarque : quand on grille les feux en vélo, on évite peut-être de critiquer les autres usagers de la route, même en voiture. »

    Pourquoi ?
    Pourquoi existe-t-il encore des feux en ville ?

    il n en existe ni sur rue piétonne, autoroute cyclable d’un coté ni sur autoroute,
    les voies -respectivement- les plus sûres pour les humains d’un coté, et les plus sûres pour les voitures de l autre.

    – A – Que se passe-t-il aux abords d’un carrefour SANS feu :
    la personne RALENTI,, regarde,
    observe,
    s engage UNIQUEMENT si elle considère qu’elle peut le faire sans risque, et dégager le carrefour.

    – B – Que fait une personne à l abord d’un carrefour AVEC feu
    En particulier, chaque matin avant 9h, ou après 17h, les chers automobilistes :

    – si le feu est vert (même s’il est impossible de libérer l’intersection, donc s’il est INTERDIT de s engager dans l intersection) : l automobiliste avance
    – si le feu est vert depuis longtemps : l automobiliste ACCELERE afin de pouvoir passer vite vite vite avant qu’il ne passe au rouge
    – si le feu est orange : l automobiliste ACCELERE afin de pouvoir passer vite vite vite avant qu’il ne passe au rouge
    – parfois.. pour les pires… si le feu est rouge depuis moins de 1 seconde : l automobiliste ACCELERE afin de pouvoir passer vite vite vite avant que les autres n avancent.

    – C – cpnséquence du choix des feux

    Conséquence de l existence totalement anormale de ces feux ? quasi tous remplacable par des voies prioritaires OU des priorités à droites ?

    => plus d accidents
    => beaucoup plus de blessés
    => énormément plus de blessés graves
    => effroyablement plus de morts

    alors.. Vince, Pourquoi y a-t-il un feu ?
    Veux-tu qu’il y ait encore plus de morts sur les routes, en france ?
    3 500 morts annuels directs ne te suffisent pas ?
    Si tu veux te battre sur les feux, tu as tout à fait raison..
    Mais ne te trompe pas surtout pas de combat :
    c est leur présence qui est mortelle (et elle est littéralement, mortelle…)

  4. Vince

    Il est normal de s’arrêter quand on se déplace, c’est même le but à moins de faire juste une boucle.

    Ce qui est exclusif de la voiture et qu’on a fini par trouver normal alors que ça ne l’est pas est que l’arrêt en voiture est très gourmand en place : ou il se trouve un emplacement exprès ou je bloque la circulation.

    Ce système est anti-naturel : nul autre mode de déplacement est basé sur l’empilement, et non l’entrelacement.

    C’est le côté Tétris de la voiture : ça s’empile et ça bouchonne. Ceci génère une énorme frustration : je suis au volant d’un bolide et je suis coincé par les autres.

    Gageons qu’une expérience menée sur des rats montrerait un accroissement de l’agressivité intra-espèce.

     

     

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