AB Industrie : 64 licenciements

La fermeture du site AB Industrie de Limay-Porcheville (Seine-et-Marne) a entraîné le licenciement de 64 des 75 salariés. L’équipementier spécialisé dans l’emboutissage de tôle écoule 70 % de sa production auprès de Renault et PSA Peugeot Citroën.

Source: Le Parisien

Isuzu : 1.400 licenciements

Le constructeur automobile japonais Isuzu Motors va se séparer de tous ses employés à temps partiel ou temporaires, a indiqué jeudi une porte-parole du groupe, le dernier en date à réduire sa production face à une demande extérieure déclinante. Quelque 1.400 ouvriers ne seront pas prolongés dans les deux mois à venir.

Source:  La Presse canadienne

PSA : 3500 suppressions d’emploi

Le constructeur automobile a annoncé un plan de “redéploiement des emplois et des compétences”, qui va se traduire notamment par la suppression de 3.550 postes au total, via des départs volontaires. Il s’agit du troisième plan de départs en moins de deux ans. Ces nouvelles suppressions de postes s’ajoutent aux 15 000 départs qui ont déjà eu lieu depuis début 2007 et qui ont principalement concerné la France.

Source : La Tribune

Siemar Sandouville : chômage partiel et suppression de 126 postes

Conséquence directe des difficultés de l’usine Renault de Sandouville en Seine-Maritime où 1 000 postes vont être supprimés, l’équipementier automobile Siemar, filiale du français Faurecia (groupe PSA Peugeot Citroën), installée sur le parc équipementier du constructeur, va imposer du chômage technique entre le 12 décembre 2008 et le 5 janvier 2009, et supprimer 126 des 270 emplois du site.

Source: L’Usine Nouvelle

General Motors : 258 emplois supprimés

GM (General Motors) prévoit de supprimer 258 emplois sur le site de production de Rayong (Thaïlande), qui a produit environ 100.000 véhicules l’an dernier. « Nous prévoyons de fermer l’usine afin de limiter les coûts annuels et nos 2.000 employés recevront 75% de leur salaire durant la fermeture », a déclaré Chartchai Suwanasevok, directeur des relations publiques.

Source: NouvelObs

Rolls-Royce : 2000 suppressions d’emploi

Le motoriste aéronautique Rolls-Royce a annoncé jeudi qu’il envisageait de supprimer près de 2.000 emplois en 2009 en raison de la baisse de la demande de ses produits sur fond de crise économique mondiale.Ces suppressions d’emploi viennent s’ajouter aux 2.300 annoncées en janvier dernier.

Source : La Presse canadienne

Mazda : 1300 postes supprimés

Mazda Motor envisage de supprimer 1.300 postes occupés par des salariés sous contrat à durée déterminée (CDD) ou intérimaires d’ici la fin de l’année, du fait de la réduction de production à laquelle le contraint la crise mondiale. Mazda ne renouvellera pas les contrats de ces 1.300 personnes temporaires (sur 1.800 dans ce cas) lorsqu’ils arriveront à leur terme en fin d’année.

Source: Romandie

Daimler-Mercedes : suppression de 570 emplois

Le constructeur automobile allemand Daimler va supprimer dans deux usines Mercedes en Allemagne 570 emplois occupés par des intérimaires ou des personnes sous contrat de travail à durée déterminée, affirme le magazine Automobilwoche qui cite des sources syndicales.

Source: RTBF

Ford: 75.000 emplois menacés

Une faillite de Ford provoquerait la suppression de 75.000 postes pour les seuls Etats-Unis. Une éventuelle disparition du constructeur automobile américain Ford provoquerait la suppression d’au moins 3.000 emplois dans 25 Etats, soit 75.000 emplois directs et indirects au minimum, révèle mardi 18 novembre le Wall Street Journal, qui cite une analyse (de Ford) faite Etat par Etat dont il a obtenu une copie.

Source: Challenges

Johnson Controls : 270 licenciements en Normandie

La direction de l’usine de l’américain Johnson Controls de Grand-Quevilly en Seine-Maritime a annoncé en quelques minutes le 14 novembre lors d’un comité extraordinaire d’entreprise aux représentants des quelque 270 salariés du site qu’elle fermait ni plus ni moins l’usine dans un délai de trois à six mois. Motif : surcapacité de production en Europe pour ce groupe spécialisé dans la fabrication de batteries pour l’automobile et le besoin de nouvelles technologies de fabrication qui nécessiteraient des investissements pour ce site.

Source: L’Usine Nouvelle

Harman Becker : 135 licenciements

Harman Becker travaille désormais sur les mesures du plan de licenciement annoncé début octobre. Le fabriquant d’enceintes audio pour l’automobile avait annoncé la suppression de 135 postes pour le mois de décembre. Les lettres de licenciements s’approchant, les salariés se sont mis en grève.

Source: Maville.com

Autoliv Isodelta : 57 emplois supprimés

AUTOLIV ISODELTA (Chiré-en-Montreuil) : 57 emplois supprimés. L’équipementier automobile, Autoliv IsoDelta, à Chiré-en-Montreuil (Vienne) va supprimer 57 emplois sur les 776 que compte le site. L’entreprise est spécialisée dans la production de volants.

Source : L’Usine Nouvelle

Trèves : 275 à 315 suppresions de postes

Trèves, spécialiste des textiles pour l’automobile qui emploie 7 500 salariés dans le monde, dont 3 800 en France, est à son tour frappé par la crise dont pâtissent les constructeurs. Trèves a lancé un vaste train de mesures d’économies impliquant la disparition de l’intérim sur tous les sites du groupe, le non-renouvellement des CDD, une gestion rigoureuse de tous les frais, ainsi qu’une vague de suppressions de postes qui concernera principalement les métiers non directement liés à la production. Ce plan prévoit notamment la suppression de 275 à 315 postes dans 7 des 8 sites français.

Source: Les Echos

Harman Becker : 134 licenciements

HARMAN BECKER (Château-de-Loir) : 134 licenciements. Ce sous-traitant automobile, fabriquant d’enceintes audio pour l’automobile, va licencier en décembre 134 salariés. Un choc pour cette ville de 5000 habitants.

Source : maville.com

Key Plastics France : 300 suppressions d’emplois

La direction de l’équipementier automobile Key Plastics France s’est déclarée jeudi en cessation de paiement au lendemain de l’annonce d’un plan de suppression de quelque 300 emplois sur ses quatre sites, a-t-on appris auprès de l’entreprise dont le siège est à Bellême (Orne).

Source: Daily Bourse