Avec mon 4×4, en pays conquis … (Cabu)
Stop au Paris – Dakar
Vélorution contre le « Dakar », manifestation à Paris le 7 janvier Lire la suite…
Avec mon 4×4, en pays conquis … (Cabu)
Stop au Paris – Dakar
Vélorution contre le « Dakar », manifestation à Paris le 7 janvier Lire la suite…
Loisirs motorisés dans les espaces naturels : ça suffit !
La pénétration de nos espaces naturels par les pratiquants de loisirs motorisés s’intensifie d’un bout à l’autre du territoire. Cette invasion et l’incivisme dont elle procède suscitent légitimement un mécontentement grandissant, voire de dangereuses exaspérations. Lire la suite…
Combien coûtera un litre de carburant quand vous revendrez ou tenterez de revendre votre belle auto? 1 euro c’est déjà passé… 2, ou alors 5 ou 10. Quand on voit le budget que certains consacrent à leur voiture, on se demande quel prix les arrêtera. Lire la suite…
Conçus à l’origine pour chasser dans la savane africaine, les tout-terrain pullulent dans nos villes embouteillées. Chers, polluants, encombrants, ils séduisent même les femmes. Que cache cet engouement ?
Pollution, bruit, stress… Les autocollants « repositionnables » Civic Et Hic ® ont été conçus pour rappeler aux automobilistes de nos agglomérations qu’ils utilisent trop leur véhicule, et trop souvent pour de petits trajets. Lire la suite…
Au chapitre de la sécurité, il faut savoir que les cas de retournement avec un gros 4×4 sont beaucoup plus fréquents qu’on ne l’imagine. Selon la NHTSA, l’équivalent de notre sécurité routière aux Etats-Unis, 63% des décès après retournement ont eu lieu avec des 4×4, alors que ces derniers ne représentent que 25% du parc automobile américain. Mais la liste des manquements au niveau sécurité de ces véhicules ne s’arrête pas là, il y a encore ce que révèlent les crash-tests. Lire la suite…
Les incivilités automobiles coûtent 150 millions d’euros aux usagers de la RATP chaque année ! Lire la suite…
Prix du pétrole
Pour une taxe exceptionnelle sur les bénéfices extraordinaires de Total
L’UFC-Que choisir appelle les parlementaires à voter l’instauration d’une taxe exceptionnelle de 5 milliards d’euros sur les bénéfices du groupe pétrolier Total. Lire la suite…
La mairie victime de sa modération ?
Une étude rendue publique par les économistes Rémi Prudhomme et Pierre Kopp, provoque une polémique entre la mairie de Paris et des politiques UMP et le lobby automobile.
Cette étude dénonce la politique des transports de Delanoë. « Les embouteillages provoqués par cette politique auraient fait grimper la pollution et coûté un milliard d’euros ». Voir le Parisien du jeudi 15 décembre 2005.
La mairie crie à la manipulation et le lobby automobile crie victoire. Qui a raison ? Sans doute personne sauf les auteurs de l’étude. En effet, les chiffres qu’avancent les deux économistes sont probablement justes.
En réduisant la place de la voiture, par l’élargissement des trottoirs et la création de couloirs de bus élargis sans réduire le volume du trafic, la mairie de Paris a peut-être obtenu l’effet inverse recherché. Les rétrécissements de voies provoquent, bouchons et ralentissements de la circulation, une perte de temps donc une perte d’argent (1 milliard d’après l’étude) qui provoque une pollution supplémentaire (une voiture roulant à 15 km/h pollue plus qu’à 30 km/h), etc.
En fait, en ne faisant les choses qu’à moitié, la mairie de Paris a aggravé la situation.
Pour être efficace, il aurait fallu accompagner les aménagements par une réduction importante du trafic d’une manière contraignante et pas se contenter d’incitation car les accros de la voiture sont têtus.
Plusieurs solutions peuvent être envisagées qui ont fait leurs preuves dans d’autres villes européennes. Il y a la circulation alternée qui, si elle est respectée, réduira le trafic de moitié, l’interdiction à la circulation de transit dans les secteurs aménagés, la mise en place de péages à l’entrée de Paris qui pourraient financer en partie la gratuité des transports en commun intra-muros, etc.
En fait, comme d’habitude, nos hommes politiques en voulant satisfaire tout le monde, se plantent. Les automobilistes sont une minorité à Paris, 20% environ de la population. Ils polluent les 80% restant. Pourquoi les laisse t’on asphyxier une des plus belles villes du monde, multiplier les maladies respiratoires (asthme), les cardiaques, les cancers, bousiller les monuments historiques et les immeubles qu’il faut ravaler tous les 10 ans, rendre malade les arbres et multiplier les nuisances sonores et pour finir provoquer stress et accidents et enfin participer au réchauffement climatique.
Je pense que la mairie de Paris et la Région Ile de France ne doivent pas plier l’échine face à cette étude, mais bien au contraire profiter de celle-ci pour passer à la vitesse supérieure dans la réduction de la circulation automobile.
Pierre.
Un cycliste parisien très militant.
Sur le site Internet du Comité des Constructeurs Français d’Automobiles, peu suspect “d’intégrisme écologique”, pour reprendre l’une de leurs expressions, on trouve une citation fort intéressante du Docteur Bertrand Dautzenberg, diplômé de cardiologie et de pneumologie, praticien hospitalier à la Pitié-Salpetrière depuis 1978. Lire la suite…
Le pied, un objet simple et moderne pour vivre debout
Il y en a forcément un près de chez vous!
D’après un dossier de presse du réseau « World Carfree » et d’autres sources. Lire la suite…
Selon le classement des Nations unies, le Nigeria et l’Angola, les deux principaux producteurs africains de pétrole se trouvent actuellement au rang des nations les plus pauvres, plus précisément les plus appauvries par trois décennies d’exploitation pétrolière. Au Nigeria, le PNB/hab était de 1000 $, en 1970. Il n’était plus que de 320 $ en 1996. Lire la suite…
Diesel: et si on nous trompait?
par Jean Louchet, INRIA (Institut National de Recherche en Automatique et Informatique) Lire la suite…
Par année, une auto brûle 1700 litres de carburant pour rien
Et c’est cela même qui est génial !
par Richard Bergeron, Ph. D.*
La Seconde Guerre mondiale a brutalement accéléré le développement technologique et fait exploser la capacité de production. Ceci sans crise de surproduction ni chômage puisque, c’est le propre de la guerre, tout ce qui sort des usines est détruit au même rythme. Mais qu’arriverait-il quand la guerre prendrait fin ? Vivrait-on une nouvelle dépression pire que celle des années 1930 ? Il fallait à tout prix l’éviter. Roosevelt soumit le problème à un groupe d’éminents universitaires, eux-mêmes conseillés par Alfred P. Sloan de General Motors. La solution qu’ils proposèrent fut la consommation de masse, dont le principe est on ne peut plus simple : en contexte de guerre, les soldats détruisent en continu tout ce qui sort des usines; avec la consommation de masse, c’est à la population du pays que cette tâche revient. Lire la suite…