Au détour d’un de ses textes, on découvre un Louis-Ferdinand Céline farouche opposant à l’automobile. Dans son roman intitulé D’un château l’autre publié en 1957, Céline dresse un parallèle entre sa vie contemporaine à l’œuvre — en tant que médecin et écrivain, pauvre, maudit et boudé par sa clientèle — et sa vie à Sigmaringen pendant la guerre où s’étaient réfugiés le gouvernement vichyste en exil et de nombreux collaborateurs devant l’avancée de l’armée du général Leclerc. Dans la première partie du livre, on découvre un Céline aigri qui se plaint de sa condition, et qui se fait « barboter ses poubelles. » Extrait. Lire la suite…
