Pour une contribution pécuniaire volontariste redistribuée en faveur du co-voiturage
par Gilles Chomel
Il y a unanimité dans l’opinion publique et chez les pouvoirs publics pour considérer que le covoiturage, si il était pratiqué en masse, permettrait d’améliorer le trafic routier, la sécurité, de réduire la pollution et la congestion et d’améliorer la convivialité et le nombre de places de stationnement. Le problème c’est que le covoiturage reste une idée très marginale à cause de la difficulté pratique de la mettre en oeuvre car c’est très contraignant pour le chauffeur et que le moindre grain de sable annule l’avantage de ce mode de déplacement. Lire la suite…