Jeff Rubin (*), en plus d’être l’un des économistes le plus en vue du Canada, est un rebelle, comme le confirme sa récente démission de la CIBC, après 20 ans de service. La raison: la publication d’un livre sur l’imminence du prochain choc pétrolier, que la banque refusait de cautionner. Entrevue autour d’une prédiction… qui ne laissera personne indifférent. Lire la suite…
Les huileux, la bagnole et le CO2
Le jour ou j’ai comparé les bilans carbones du pétrole, des agrocarburants industriels et de l’huile… Lire la suite…
Prix du « Shadok d’or » à la multinationale Total
La multinationale Total vient de recevoir le Prix du « Shadok d’or » dans la catégorie « Développement durable du capitalisme », pour son projet de captage et de stockage géologique de CO2 dans le bassin de Lacq dans le sud-ouest de la France… Lire la suite…
Sortir de la civilisation de l’automobile
La voiture individuelle et son expansion phénoménale dans la deuxième moitié du XXè siècle aura été le le moteur d’une croissance folle, et le symbole d’un rêve de liberté… qui a tourné au cauchemar. Lire la suite…
Les cul-de-sacs, la plus grande menace pour la planète
Quelle est la plus grande menace pour la planète? La guerre nucléaire? La surpopulation? Les voitures? Les flatulences des vaches? La peste? Les extra-terrestres? Non! La plus grande menace pour notre planète sont… les culs-de-sacs! Lire la suite…
Les scientifiques expriment leurs craintes sur les agrocarburants
Une nouvelle étude réalisée à partir des travaux de 75 scientifiques à travers le monde appelle à repenser complétement l’utilisation des agrocarburants pour le transport. Cette étude déclare que les taux actuels d’agrocaburants dans les carburants liquides, et ceux qui sont visés à l’avenir, “devraient être reconsidérés”. L’étude montre que compter sur les agrocarburants risque d’accroitre le fossé entre les riches et les pauvres, et déclare que la première chose que les gouvernements devraient faire est de limiter la demande en carburant.
Source: T&E
Shell accusée de crimes contre l’humanité
Quatorze ans après l’exécution de l’activiste et écrivain nigérian Ken Saro-Wiwa, la compagnie pétrolière Shell va être amenée à répondre devant un tribunal de New York, mercredi 27 mai, d’accusations de crimes contre l’humanité liées à une éventuelle implication auprès des militaires nigérians qui ont exécuté cet homme. La justice examinera donc des faits liés à la défense par Ken Saro-Wiwa des populations du delta du Niger, zone d’extraction pétrolière du Nigeria, au moment où des opérations de l’armée et de la police dans cette région se transforment en guerre ouverte avec la rébellion. Lire la suite…
Européennes: vers une décroissance de l’automobile
Les élections européennes du 7 juin prochain sont l’occasion de s’intéresser à la place prise par l’automobile dans les différents programmes des partis politiques. Même si la place de la voiture dans nos sociétés ne constitue pas l’essentiel d’un programme politique européen, c’est malgré tout un sujet qui, dans le contexte actuel de la crise environnementale et climatique que nous connaissons, est révélateur des différents projets de société portés par les partis politiques à l’échelle européenne. Lire la suite…
A la découverte de l’Homo Petroleum
«A la découverte de l’Homo petroleum»: Satire de notre mode de vie basée sur une utilisation massive de pétrole, cette vidéo a remporté le premier prix du Concours Alternative Channel: le jury a souhaité féliciter le talent, le dynamisme, la pédagogie et l’originalité de la vidéo du contributeur Mathieu Eisinger qui présente, par la voie de l’humour, la dépendance de la société occidentale face au pétrole et la nécessité d’adopter de nouveaux comportements de consommation. Lire la suite…
La croissance verte est un leurre
Par les temps (de crise) qui courent, l’économie mondiale se découvre une âme écolo. Mais derrière une certaine prise de conscience de l’urgence se cache surtout une stratégie opportuniste des industriels… C’est en tout cas l’opinion du philosophe Dominique Bourg. Lire la suite…
La fin de la voiture électrique
Le développement annoncé de la voiture électrique va se traduire par une prolifération nucléaire et une augmentation des émissions de CO2. Paradoxal? Et bien non, l’engouement actuel pour la voiture électrique risque de ne pas faire illusion très longtemps. Lire la suite…
De la Révolution Verte aux Biocarburants, la vraie nature du Développement
Désastre, dévastation, désolation, misère, catastrophes en série ; tel est, au terme du demi siècle passé, le bilan de la « Révolution Verte », du « développement » et de l’industrialisation agricole. Catastrophe écologique, catastrophe humanitaire, catastrophe sanitaire, le bilan est d’autant plus lourd qu’aucun des objectifs humains affichés n’a été atteint. L’industrialisation de l’agriculture a certainement satisfait des « objectifs économiques », mais c’est en laissant sur son chemin une humanité plus que jamais déshéritée. Lire la suite…
La civilisation de la voiture
Intervention de Gilbert Dumas (ex vert, militant écologiste de quartier, syndicaliste enseignant, animateur des listes AUDACEs à Lyon) lors du Contre-Grenelle de l’environnement à Lyon le 2 mai 2009.
Villes en transition
Une ville en transition est une ville dans laquelle se déroule une initiative de transition, c’est à dire un processus impliquant la communauté et visant à assurer la résilience (capacité à encaisser les crises économiques ou écologiques) de la ville face au double défi que représentent le pic pétrolier et le dérèglement climatique. Lire la suite…
Quand le lobby pétrolier mentait sur le réchauffement climatique
Un puissant lobby américain représentant les industries du pétrole, du charbon et de l’automobile, le Global Climate Coalition (GCC), dissous en 2002, a assuré pendant des années que le lien entre émissions de CO2 et réchauffement climatique étaient insuffisamment étayé pour justifier la ratification du protocole de Kyoto (1997). Pourtant, selon le New York Times et le Washington Post, un résumé de la question rédigé en 1995 par ses propres scientifiques concluait que « les bases scientifiques sur les gaz à effet de serre et l’impact potentiel des émissions d’origine humaine (…), comme le C02, sur le climat sont bien établies et ne peuvent pas être contestées ». Une affirmation qui ne figurait pas dans le document final publié par le GCC.
Source: Le Monde