La mauvaise qualité de l’air est la deuxième cause de mortalité évitable en France avec une surmortalité estimée à près de 100 000 décès par an. Lire la suite…

La mauvaise qualité de l’air est la deuxième cause de mortalité évitable en France avec une surmortalité estimée à près de 100 000 décès par an. Lire la suite…
Amis de la poésie, bonsoir ! Voici un petit poème dédié au lobby de l’automobile… Lire la suite…
Chaque jour environ 15 000 litres d’air transitent par nos voies respiratoires. Contrairement à l’eau potable que nous buvons, nous ne pouvons malheureusement pas choisir l’air que nous respirons. Lire la suite…
La solution est trouvée pour retirer de la circulation en ville les véhicules polluants, en particulier ceux à moteur diesel, motorisation particulièrement délétère qui équipe encore plus des deux tiers des véhicules particuliers ainsi que la quasi-totalité des véhicules utilitaires et poids lourds en circulation en France: il suffit de se référer à l’article R318-1 du code de la route qui prévoit l’immobilisation des véhicules émettant des « fumées, de gaz toxiques, corrosifs ou odorants, dans des conditions susceptibles d’incommoder la population ou de compromettre la santé et la sécurité publiques ». Lire la suite…
La pollution de l’air est la deuxième cause de mortalité évitable en France avec une surmortalité évaluée à 100.000 décès par an. En cette période de pandémie de COVID-19, une mauvaise qualité de l’air peut favoriser la mortalité en affectant les systèmes respiratoire, cardiovasculaire et métabolique. Le coût de la pollution de l’air en France a été estimé à 101,3 milliards d’euros par an dans le rapport du Sénat du 8 juillet 2015 intitulé « Pollution de l’air : le coût de l’inaction. » Les coûts sanitaires associés aux principales maladies attribuables à la pollution atmosphérique sont estimés à 2 milliards d’euros, équivalents à 30% du déficit de la sécurité sociale. Lire la suite…
Le gasoil, carburant le plus consommé en France, avec environ 80% de part des carburants a rendu dépendants des millions de Français (particuliers et entreprises) qui ont été orientés vers cette énergie, présentée comme économique, écologique et sociale. Lire la suite…
Un collectif de médecins et de chercheurs publient une tribune dans laquelle ils dénoncent les agissements des lobbies pro-diesel. Lire la suite…
Appel pour une modification des conditions d’attribution de la prime à la conversion et de la classification Crit’air pour sortir du diesel et améliorer la qualité de l’air. Lire la suite…
En matière d’habitat, les particuliers et les entreprises sont tenus de se mettre « aux normes », en conformité, afin de prévenir les risques sanitaires. Lire la suite…
Constatant depuis peu une contre-offensive des lobbys du diesel en tentant de le faire passer pour moins émetteur de CO2 et donc moins mauvais pour le climat (pas mauvais pour la santé étant intenable…), nous avons réalisé un flyer d’information grand public. Merci de le diffuser autour de vous! Lire la suite…
Voici le clip « vélorution » du collectif belge Pang. Lire la suite…
Sur mon vélo, je pars au grand air, l’air de rien, habité par une certaine insouciance et joie de vivre. De mon vélo, je vois le monde beau et en paix. Lire la suite…
En France, un salarié sur deux effectuerait moins de 8 km pour se rendre à son travail, et un trajet sur deux se ferait sur moins de 3 km. Dans notre pays, le vélo n’y est principalement utilisé que pour le sport et les loisirs le week-end et durant les vacances. Très peu comme mode de transport. Lire la suite…
En matière de mobilité et de santé publique, les produits proposés par l’industrie automobile sont, il faut en convenir, inadaptés et obsolètes en ville: trop polluants (pour ceux à énergie fossile), trop puissants, trop lourds, trop volumineux, trop lents (en comptant les bouchons et le temps pour stationner), trop inactifs (aucun exercice physique) et trop coûteux pour effectuer seul un petit trajet. Lire la suite…
Nous avons une fois de plus traversé en mars 2015 une semaine de pic de pollution atmosphérique (à l’instar de celle de mars 2014) condamnant les habitants des grandes villes à respirer un air dangereux pour leur santé, chargé de particules fines, de dioxyde d’azote, d’ozone et de dioxyde de souffre. En dehors de ces épisodes médiatisés, nous sommes pour la plupart quotidiennement exposés à des seuils supérieurs à ceux préconisés par les organisations internationales sans que des mesures de protection sanitaire ne soient prises. Lire la suite…